Bordeaux, Tabeau de Claude Monet
Pour nous convaincre qu’elles furent,
Nous captons des joies éphémères,
Savoureuses, émouvantes, sûres,
Bien différentes des chimères.
Quand notre mémoire nous offre
Des souvenirs inattendus,
Une photo sortie d’un coffre,
Lui rend tout ce qu’elle a perdu.
Quand s'impose la nostalgie,
Ne ressentant plus l'allégresse,
On va chercher la poésie,
Gardée au puits de la tendresse.
Commentaires
Suzanne, il n'y a pas de mal.
Je l'avais remarqué mais n'ai pas osé vous le dire. Le poème que vous avez écrit est universel, et bien de belles toiles pourraient l'illustrer. Dans votre billet, une deuxième erreur s'est glissée, vous avez indiqué Claude Manet au lieu de Claude Monet ! Je collectionne moi-même les erreurs, bien plus que vous, et c'est tant nous sommes concentrées sur notre tâche.
Amicalement vôtre,
Liliane.
Re: la toile ci-dessus de Claude Monet
Cette toile est présentée, par erreur, parmi les tableaux de Claude Moulin. C'est par hasard que j'ai vu la signature. Claude Moulin m'a autorisée à mettre des photos de ses tableaux pour illustrer mes poèmes.