lien : http://madmagz.com/fr/magazine/141509
Bonne lecture à toutes et à tous et à très bientôt sur la page d'IsA !
n'hésitez pas à faire découvrir ce Mag à vos connaissances.
Bien cordialement,
IsA
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Bonne lecture à toutes et à tous et à très bientôt sur la page d'IsA !
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Bien cordialement,
IsA
J’ai pris plaisir à me gausser, dans le silence,
Du ridicule fou d’une femme connue,
Agressive, qui trouve une large audience,
Et qui a mis, hier, sa vanité à nue.
...
Se faisant procureur, elle accusait rageuse,
Certainement jalouse, en voulant en douter.
Or moi, je la trouvais tristement prétentieuse,
Brandissant l’étendard de la moralité.
...
La revoilà, soudain, exultant de bonheur,
Proclamant, à chacun, son destin enviable.
Un homme l’a élue comme son âme soeur.
A-t-il était piégé, l’étranger remarquable?
...
Je ressens bien souvent une tendre indulgence
Pour les êtres naïfs me surprenant parfois.
Je suis certes charmée par leur belle innocence,
Me réjouis pour eux de leurs joyeux émois.
...
Mais cette femme-là n’a rien d’une naïve,
Et son inclinaison la porte à la rancoeur.
Je ne la conçois pas rêvant sur une rive,
Essayant d’éviter les odieuses erreurs.
...
Comment a-t-elle pu se ridiculiser,
Se dénudant ainsi? Je me permets de rire:
Amour inespéré, magie réalisée!
Esseulée for longtemps, elle avait craint le pire.
....
31 mars 2012
http://lillith3.blogspot.com/2007/05/femmes-qui-courent-avec-les-loups.html
Pour que disparaissent les choses,
Il suffit de fermer les yeux.
Vers un ailleurs mystérieux,
On plane alors, paupières closes.
...
Il suffit de fermer les yeux,
Quand un changement se propose.
On plane alors, paupières closes,
Dépaysement fabuleux!
...
Quand un changement se propose
Pour chasser l’instant ennuyeux,
Dépaysement fabuleux,
Dans le silence qui repose!
...
Pour chasser l’instant ennuyeux,
La pensée assez tôt s’impose.
Dans le silence qui repose,
Donne l’envie d’ouvrir les yeux.
...
31 mars 2012
Indécence (définie par ce qui choque par sa démesure. Pour notre époque particulièrement, une prépondérance du matériel, du particulier, du présent, du profit sur le spirituel, l'universel, l'humain, le social. On la retrouve dans tous les domaines :économique, politique, l'école, l'Eglise, les médias, les sports, l'informatique. En réalité tous les systèmes fonctionnent pour eux-mêmes et non pour l'homme. Si on ajoute à ces graves dysfonctionnements les catastrophes naturelles, on se trouve dans une situation de plus en précaire qui met l'Humanité en danger. La priorité est donc de préparer la jeunesse à un avenir incertain. Ce n'est pas encore le cas alors que l'urgence est là. Le court terme prime toujours sur le long terme. Willy
Hé bien, oui, jai eu l'immense bonheur d'aller au concert de Paul Mc Cartney hier soir. Ceux qui me connaissent un peu savent que je peins en écoutant les Beatles et rien que les Beatles depuis toujours. Ils m'aident beaucoup, je ne peux pas me passer d'eux (cf la discussion sur la synesthésie). Ils ne se répètent pas, sans arrêt ce sont des trouvailles dont on n'a jamais fini de faire le tour. C'est un monde, c'est mon monde. Et Paul est mon préféré pour son inventivité mélodique, son humour, sa simplicité. J'ai donc passé trois heures inoubliables. C'était le 4ème concert et sans doute le plus beau. Quel bonheur.
(texte écrit par le paternel pour essayer de traduire l'émotion d'Oli)
Parcours d’artistes «Fenêtre sur mur» 2012
les 28-29-30/09
06 et 07/10
Appel aux artistes
Le comité organisateur de «Fenêtre sur mur»,
composé du Centre Culturel, de la Galerie du Crabe et
du collectif «Comme un week-end à la mer» vous propose de poser votre
candidature au troisième parcours de Jodoigne!
A nos fenêtres et sur nos murs, un fil sous-tendra l’événement.
Ce troisième parcours ayant pour thème «Fil en soi»: fil à linge, fil du
temps, filiation, effilochure, fil à retordre, contre-fil,………
qu’il nous enchaîne ou que l’on s’en libère,
les artistes en proposeront leur perception.
Peintres, sculpteurs, graveurs, céramistes, photographes ou
autres artistes...cette initiative vous intéresse?
Nous nous chargeons de vous trouver un lieux d'exposition, dans le centre historique de Jodoigne
Si vous souhaitez par votre démarche artistique, participer au projet,
une adresse: (fiche d'inscription, ainsi que règlement )
http://www.fenetresurmur.be/rubrique17.html
et de renvoyer votre dossier uniquement par courrier postal à:
Fenêtre sur mur
à l’attention de Françoise Laporte
Grand Place, 1-1370 Jodoigne
010/81.15.15
Vivre un amour, sans réciprocité ou tu,
c’est porter en soi un enfant,
dans l’obscurité et le froid,
viable, mais qui jamais ne sort,
ni ne se laisse étreindre.
Deux vies en soi tout le temps ;
s’il s’agit là de votre unique amour !
Impossible deuil,
voile lumineux mais lourd
sur vous inanimé toujours.
Pourtant au dessus de tout,
vous existez, vous grandissez ;
écriture, aération en soi,
chemin bleu et chaud
dans l’entre-deux.
Pluie dans les yeux,
brutalité des mots,
enfantement peu-à-peu,
délivrance de vous ;
vos premiers pas vers moi.
Oh espérance !
Le jardin mal peigné...
A des airs d'abandon!
Le jour ensoleillé
Lui demande pardon...
Des souvenirs en foule
Viennent troubler la pensée!
Si un rêve se déroule...
La vie est chamboulée!
Quand le jardin frissonne
Au gré des giboulées...
Sa dernière robe d'automne
Par le vent emportée...
Comme aux tout premiers jeux
Des saveurs oubliées...
Le coeur vous monte aux yeux
C'est le temps d'être aimée!
La soirée est jolie...
Y a comme un goût de printemps!
L'écureuil et sa mie
Squatteront sur le banc!
J.G.
De la magie dans l'air au dessus des nuages
De la lumière dans le livre aux milles images
le livre de la Vie est un grand magicien
on y découvre à chaque page un lien
lien direct avec ce poète qui someille
au commencement de ce rêve d'éveil.
Le monde de l'infini ouvre ses portes du paradis
paradis terrestre si l'on choisit d'être en vie
de regarder le soleil plutôt que le gris du ciel
à chaque chemin se trouve une page essentielle
une page qui reste à écrire aux pépites de merveilles.
Alors que la chanson douce des corneilles
adoucisse le coeur d'un amour éternel.
Allons danser sur le rythme du troubadour
avec comme seul et unique détours
l'amour en chanson plus haut, là haut
croiser ses chemins au delà d'une tour
Allons vivre et voler comme l'oiseau
croire encore qu'il nous reste le plus beau.
La magie dans l'air nous transforme
nous rends plus léger , là où les normes
ne sont jamais définies , là où l'on sourit
Les émotions si fortes envahissent la terre
allons vers cette incroyable aventure
avec comme seul fardeau la légèreté d'un voyage sans fin.
J’observe les hérissons qui squattent ma baignoire depuis la fin de l’automne… Ils font un bruit d’enfer. Le plus sympathique des deux essaie vainement de faire avancer son congénère qui pousse des grognements sensés lui enlever toute envie de continuer…
Il faut dire qu’il lui bloque le passage le plus direct menant à sa pitance : croquettes pour chat, pomme et raisin en petits morceaux, une cuiller à soupe d’émincé de poulet en sauce et le petit bout de madeleine quotidien… Mes petits copains d’une saison sont de fins gourmets.
Rebroussant chemin, il a la sagesse de ne pas continuer l’affrontement… Le bruit cesse et il finit tout de même par accéder à la gamelle dépourvue maintenant de la douceur tant convoitée.
L’être humain devrait observer plus souvent le comportement animal. Il en tirerait des leçons de vie qui donneraient à la terre l’envie de tourner dans le bon sens. Non pas qu’il faille s’écraser sous le joug, mais lorsque ce n’est pas vital, accepter de prendre un autre chemin qui agrée tout le monde, ne pas « jeter de l’huile sur le feu », hausser les épaules et se dire qu’après tout, ça n’en vaut pas la peine…
Les petites boules de piquants, une fois repues, sont reparties au dodo… Elles se sont adaptées à la vie diurne de la maison mais somnolent pratiquement toute la journée. Je ne les relâcherai dans la nature qu’une fois sûre qu’il n’y aura plus de gelées nocturnes… Ils ne s’en remettraient pas. D’autant plus que le plus caractériel des deux (en est-ce la cause ?) traîne sa propre « boule de chagrin » : un amas de crasse récolté durant sa toute petite vie en liberté. Il n’a pas ma chance. Le vétérinaire refuse l’opération parce qu’il risque d’y perdre la patte et donc, d’être condamné. Mais quelle sera sa vie en liberté ? Je suis assez pessimiste en ce qui le concerne. C’est pourquoi j’ai pris la décision de rester « hors-la-loi » et de continuer à veiller sur eux.
Je leur aménage un petit « studio » dans ma remise. Ils pourront ainsi vivre en semi-liberté jusqu’à l’hiver prochain. Nous nous partagerons alors encore l’utilisation de ma baignoire.
A cette époque, - restons en Belgique - l’architecte Victor Horta prône un renouvellement des motifs décoratifs inspiré de la nature. L'emploi de lignes sinueuses, de courbes et de formes organiques représentera l'une des caractéristiques majeures de l’Art Nouveau. Les artistes de ce nouveau courant désirent implanter l’harmonie dans la vie quotidienne. L’Art sera dans tout, il sera offert à tous et s'attachera à tous les domaines ... la canne en fera partie et c’est son pommeau qui portera classiquement le décor comme sur cette canne en argent niellé.
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Cette canne n'est pas unique mais assez rare.
C'est exactement ce modèle qui fut offert par Victor Horta au pianiste Arthur de Greef.
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Celle dont il est question aujourd’hui est peu fréquente car c’est la canne elle-même qui forme le motif en s’inspirant de la fameuse « ligne en coup de fouet ».
Les exemples sont rares puisqu’il fallait « cultiver » ce type de cannes. Après ensemencement, durant trois ou quatre ans de croissance, voire plus, l’arbrisseau, maintenu bien droit en permanence, était ébourgeonné très régulièrement afin de lui conserver un aspect lisse et uniforme après l’écorçage. Les dimensions requises obtenues (+ou- 2 mètres), on le coupait et dans ce cas bien précis, on fendait l’extrémité la plus large en deux brins identiques. Encore vert et relativement souple, on l’étuvait pour l’assouplir plus encore et permettre de courber plus facilement la partie qui servira à la confection du pommeau. Les deux brins sont cintrés, entremêlés et maintenus pour qu’ils puissent former un entrelacs qui s’inscrit parfaitement dans le nouveau langage ornemental.
Remarquez la chute en spirale qui fini sa course en s’enroulant autour du fût ... elle nous rappelle, on ne peut mieux, de nombreux éléments décoratifs Art Nouveau.
La culture de la canne s’est développée à partir du XVIIIème siècle et plus particulièrement durant le XIXème. Faire pousser les cannes était devenu une véritable industrie. En France, pour ne donner que cet exemple, une entreprise installée en Seine et Oise au XIXème siècle, possédait plusieurs centaines d’hectares sur lesquels poussaient plus de 4.000.000 de cannes. Les champs de cannes de ce cultivateur étaient répartis dans toute la France car à chaque espèce, il fallait un terrain et un climat particulier.
Cet artisanat exigeait beaucoup de minutie et une connaissance approfondie des essences cultivées. Durant la vie des jeunes plans, leurs tiges ligneuses étaient tressées, scarifiées, entrelacées, cintrées, mises en volute, ....
Cela m’amuse de penser que le «planteur de cannes» devait interroger le ciel et comme l’agriculteur, supputer les chances de temps favorable ou comme le viticulteur qui espère «une année à vin», attendre avec espoir «une excellente année de cannes».
D.T.
L’être qui a compris l’intense ardeur de vivre,
Que son conjoint ressent, trouve qu’il a le droit,
L’hypocrisie n’étant admise aucune fois,
D’agir selon son gré, toujours pleinement libre.
...
Quand on n’a pas aimé l’autre plus que soi-même,
On réalise mal qu’il puisse en être ainsi.
En couple, on a souvent comme premier souci,
D’éviter tout écart qui cause des problèmes.
...
Chacun doit réfréner les élans de son coeur,
Qui excluent le conjoint au cours d’une aventure.
Il n’ose qu’à regret sortir de la droiture
Car, certes, il en résulte du dépit et des pleurs.
...
Les témoins bien pensants, moralistes assurés,
Se mêlant de juger, dénoncent l’égoïsme,
La franchise semblant voisine du cynisme.
Suscite leurs soupçons, l’amour démesuré.
...
Cependant, quand on vit un amour véritable,
Il ne s’amoindrit pas devenu décevant.
L’être aimé reste cher tout comme auparavant,
On accuse le sort, qui semble le coupable.
...
29 mars 2012
Voix du ciel,
profonde, féconde et bleue,
bruits de coquillages,
un peu vagues,
lointains et proches,
le ciel n’a point d’âge,
contrairement à la terre,
l’éphémère, la rebelle,
par l’homme possédée , abusée ;
de sa voix rouge elle chante,
comme ça se désincarcère,
s’arrondit davantage,
s’amourache du ciel,
lui arrache le soleil,
pour en vêtir sa peau,
arborescente et froide,
blanche ou brune,
le temps d’un enlacement
entre nuages et roses.
Harmonie.
Binche n'en finit pas de s'enorgueillir de son carnaval, de ses gilles et de ses remparts médiévaux encore debout. Les touristes ignorent plus souvent que les 'Binchous' sont aussi très fiers de la période glorieuse de la petite ville, la première moitié du seizième siècle. A cette époque, les murailles protégeaient le château de Marie de Hongrie, jusqu'à sa destruction par François 1er. Marie de Hongrie, soeur de Charles Quint était la gouvernante des 'Pays d'en Bas'. En 1549, des fêtes fastueuses y furent données en l'honneur de Charles Quint et de son fils, le futur Philippe II.
Pour commémorer cette période fastueuse, diverses célébrations émaillent l'année. Modestement, je publie un petit sonnet de ma composition, qui agrémentera l'une de ces célébrations:
Un Ivrogne
Maître Jacques des rues de Binche arpentait
Les luisants pavés ronds et gras de fine pluie.
Du Palais de la bonne Marie de Hongrie,
Admirer les rares splendeurs, il s’en allait.
Maître Pierre le héla d’un estaminet.
Une fraîche chopine lui fit moult envie.
Hélas ! Odorants jardins, Beaux-arts il oublie
Aussitôt qu’il s’attable dans le mastroquet.
Ainsi au Château Royal guère plus ne songea.
Quand la vinasse la raison lui dérangea,
Le bistro le chassa, qui n’était point Lemblin.
Madame, que le triomphe de la piquette
Ne vous soit peine : Maître Jacques le promette,
Les ors de votre château, il verra demain…
L’UNIVERSITE EUROPEENNE D’ECRITURE décerne chaque année le PRIX CHARLES SPAAK qui récompense un scénario original destiné au grand ou au petit écran et non encore réalisé.
Le PRIX CHARLES SPAAK a été décerné cette année au scénariste français LAURENT MERLIN pour son scénario, L'ENFANT DU SAHARA.
Mohamed, de mère marocaine et de père français, mène la vie ordinaire d'un lycéen de 17 ans jusqu'au jour où ses parents trouvent la mort dans un accident de voiture.
Rejeté par sa famille paternelle, il apprend qu'il est un enfant adopté et que ses parents naturels vivent dans le sud marocain.
Les services sociaux lui proposent alors de s'y rendre pour décider s'il ne souhaite pas s'installer avec ses vrais parents plutôt qu d'être placé dans un foyer.
C'est le début d'un long voyage …
La date limite de remise des dossiers pour le prochain CHARLES SPAAK est le 15 décembre 2012. Pour obtenir le Règlement du concours, il suffit de s’adresser au secrétariat de l’Université Européenne d’Ecriture, 489 av. Brugmann, 1180 Bruxelles,
T. + 32(0)2 / 344 65 70 ou de consulter le site http://www.uee.be.
Le Théâtre de la Communauté organise à Liège du 16 avril au 11 mai 2012 un lieu de débats ayant deux objectifs principaux; tout d’abord proposer au citoyen un lieu de réflexion et de tables rondes participatives et accessibles à tous; un lieu où chacun peut s’engager pour défendre ses idées, un lieu où le citoyen pourra écouter et être entendu.
Le second objectif est de permettre au jeune de s’engager dans un projet, de participer à une réflexion, d’engager sa parole et ses idées et de les confronter à d’autres.
Quatre thématiques
Toute cette démarche est structurée autour de quatre grands thèmes :
1) Qu’est ce que l’engagement ?
2) L’art doit-il être engagé ?
3) L’art peut-il servir de support aux résistances et aux révolutions ?
4) Les jeunes sont-ils désengagés ?
Du 16 avril au 11 mai
des scènes de la nouvelle création du Théâtre de la Communauté provoquent la réflexion de groupes de jeunes issus d’écoles de la Province de Liège qui viendront présenter leurs conclusions lors de ces quatre débats participatifs ouverts au tout public avec des invités et des partenaires.
Vendredi 20 avril à 19h30
Qu’est-ce que l’engagement ?
Les jeunes avec : Magali David (Jeunes FGTB), Marie-Anne Muyshondt (CDGAI), André Ruwet (Imagine), Guy Bajoit (UCL), Sarah Duplat (Membre de la Ligue des Droits de l’Homme),
Benoit Dave (Tamadi), Nicolas Croes (PSL), Simon Hupkens (Responsable de la section
Liège du PSL)...
Vendredi 27 avril à 19h30
L’art doit-il être engagé ?
Les jeunes avec : Nancy Delhalle (ULG), Philippe Dumoulin (Théâtre Du Public),
Françoise Milet (SEF), Claire Vienne (Théâtre de la Communauté), Alain De Clerck (plasticien),
Lucie Woschek (photographe), Etudiants ERASMUS d’architecture d’intérieur de Saint-Luc (création de l’espace de débats)…
Vendredi 4 mai à 19h30
L’art peut-il servir de support aux résistances et aux révolutions ?
Les jeunes avec : Pierre Heldenberg (Grignoux), Marc-Emmanuel Melon (ULG), des membres de Xamanek, Ronnie Ramirez (ZinTV.org), Uliana Ordega (Centre Culturel Chili),
Justine Dandoy (Centre Culturel de l'arrondissement de Huy), Werner Moron (Paracommand’art), Kevin Igo (Orphéo)…
Vendredi 11 mai à 19h30
Les jeunes sont-ils désengagés ?
Les jeunes avec : Christian Mans (Waha), Catherine Demonty (Conseil de la Jeunesse FWB), Alain Lemable (CDGAI), Patricia Paternoster (Inspectrice de l’Enseignement secondaire, supérieur et de promotion sociale), Daniel Lesage (Saint-Luc, UCL), Grégory Lacroix (Animateur responsable du ciné-club Nickelodéon), Audrey Taets (CAL)…
Un espace de ressources interpellant, imaginé par des étudiants en architecture d’intérieure
En partenariat avec l’Athénée Léonie de Waha, l’Athénée Royal Air Pur de Seraing, l’Académie Royale des Beaux-Arts de Liège, l’Helmo Esas, l’I.C.T.I.A, les Pitteurs, l’Asbl Rebonds, l’Asbl Lire et Ecrire, la Tchicass (école de devoirs)
Place Sainte Barbe 16 à 4020 Liège
Tel : 04 336 23 32
au pays des songes maudits
coule le sang de mon enfance
accordeur de violons banni
mords la musique d'espérance.
entre mes cuisses d'insoumise
le souffle tarde à revenir
plus violente sera la prise
du bastion en terre promise.
jamais le vent n'a soulevé
la fleur d'amour qu'on a violée
cachée sous la voûte bénie
elle dort d'un sommeil voilé...