À Rosyline
Sur un petit coussin brodé,
Présentant un bouquet de roses,
Un merveilleux oiseau se pose,
Ne devrait pas s'y attarder.
J'observe, ravie, les couleurs,
De cet adorable tableau,
L'élégance de cet oiseau,
Surgi d'un onirique ailleurs.
Or il est le pâle reflet,
Crée comme le sont les ombres,
Projetées, ce jour, en grand nombre.
D'un vitrail, a pu s'envoler
19 novembre 2012
Commentaires
Je me souviens de la fraicheur vive et légère des dessins de Rosyline et de sa fantaisie de jeune demoiselle! La précieuse s'est évanouie dans le firmament de la toile, sans doute emportée par un arc en ciel. Veille-t-elle quelque part parmi les fleurs, ls nymphes ,les instruments de musique, les ombrelles et les navires poétiques?