Zéphyr, doux vent de ma jeunesse!
Quand le sirocco détesté,
A la fin d’un jour désertait,
Il répandait de la tendresse.
Descendu de l'espace bleu,
Il parcourait l'immense plage
Où je glanais des coquillages,
Contemplant l'astre fabuleux.
Je frissonnais sous ses caresses,
Amusée en les accueillant.
Je ne peux oublier ce temps,
Qui fut celui de l’allégresse.
Souvent taquin, jamais méchant,
Il parfumait, à sa manière,
De façon bien particulière,
Mes cheveux en les embrouillant.
12 juillet 2014
Commentaires
Beaux souvenirs d'enfance ! J'aime beaucoup!
Merci pour ce partage.
Bonne fin de journée.
Bien amicalement.
Adyne