Lydia,
Elle s’est éteinte
Désespérément seule
Sans plus d’étreinte
Sur le chevet son tilleul
Elle s’est endormie
A quoi rêvait elle ?
Revoyait elle à sa vie ?
Sa lointaine famille ?
Elle s’est éteinte.
J’ai perdu une "amie".
Mon âme est atteinte
Comme à l’agonie
Ҫa me fait une cicatrice
Au cœur et à jamais
Un amer goût d’injustice
Oh Dieu que je l’aimais
Elle s’est éteinte
Lumière guide de ma vie
Reste ses empreintes
Mon âme en est garnie
Vas en paix, Tantine
Découvre dans l’infini
D’autres belles collines
A toi s’ouvre le Paradis.
Lydia, la jeune sœur d’Irène, "Irka" ma maman
T. Pirschel
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