Ma solitude se prélasse au creux de mes draps,
S’en fait des écharpes de tendresse inassouvie,
De douceur inavouée, de chagrins consommés.
Je n'attends plus que l'ombre de la nuit,
L’ombre de mains qui frôlent l'absence,
L’ombre de souvenirs qui n'en sont pas,
De la mémoire qui n'a pas encore vécu.
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