Avant de commettre un assassinat, généralement un meurtrier n'a pas averti sa victime de sa volonté de la tuer. Souvent au contraire, il a établi avec elle des liens de confiance. Lors que doit-on penser des menaces de mort?
En France, les menaces de mort contre les personnes sont prévues et réprimées par l'article 222-17 du code pénal. Cette infraction est classée dans la catégorie des délits. Elle est punie de 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.
Recevoir une telle menace cause un odieux désarroi. On ne peut pas savoir s'il s'agit d'un chantage ou de l'avertissement d'un drame à venir.
L'envie de commettre un crime est souvent abandonnée car le châtiment encouru est dissuasif.
Certes la peine de mort a été supprimée dans les pays des bien-pensants mais l'emprisonnement demeure redoutable.
En acceptant cette réalité on devrait pouvoir se tranquilliser tout en faisant preuve d'une grande prudence. Mais ce qui rassure surtout est la foi en l'efficacité des forces qui permettent de retracer et de rendre inoffensifs des suspects dangereux.
Nul ne peut vivre paisiblement dans un pays où abondent les délinquants de toutes espèces.
Le chef d'un état est responsable de la sécurité de chacun. Les lois pénales doivent être rigoureuses et la police vigilante.
8 avril 2017
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