Si tu savais
comme je m’essouffle vite
à marcher
sur les sentiers perdus
sur toutes ces routes
qui mènent quelque part
ce que j’aime
c’est m’attarder
sur les chemins de sable
des mots
ou entrer
dans le mouvement
d’une symphonie
Martine Rouhart
Commentaires
merci Monsieur Paul ,pour avoir signalé ce billet! très amicalement, martine