Une valse de cristal, le soir.
La clarté de tes mains.
Ailleurs, une averse inonde la pupille de tes yeux.
Ne perds pas de vue que le merveilleux des éléments
Frappe à la porte tous les jours.
Sourions pour apaiser les maux.
Eprouvons notre mémoire
Jusqu’aux visages les plus lointains.
Le combat de nos âmes envahit les terres lointaines
Jusqu’à affronter nos espoirs.
A Brest, le 07 septembre 2018
Julien Boulier
poème déposé Sacem code oeuvre 3441160011
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