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administrateur théâtres

La proclamation des finalistes du  CONCOURS REINE ELISABETH 2013,  a eu lieu ce samedi 18 mai après minuit trente. 

En ordre alphabétique, les 12 finalistes sont : Mateusz Borowiak,   Tatiana Chernichka,   David Fung,   Rémi Geniet,   Boris Giltburg,   Roope Gröndahl,   Sean Kennard,   Stanislav Khristenko,   Sangyoung Kim,   Yuntian Liu,   Andrew Tyson,    Zhang Zuo.


Ils se produiront du 27 mai au 1er juin au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. Ils seront accompagnés par l'Orchestre National de Belgique, dirigé par Marin Alsop. Des places sont toujours en vente au +32 2 507 82 00 et sur www.bozar.be(prix et plus d'information).

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Grâce à Belgacom, la finale pourra être suivie en direct sur le site internet du Cmireb. Toutes les prestations seront disponibles en VOD, sur  le site et sur Belgacom TV. Réécoutez les prestations des candidats dans la médiathèque  du Cmireb.

vous pouvez suivre  la diffusion du Concours sur les chaînes et sites internet de la RTBF et de la VRT.

 

L'ordre de leurs prestations en finale est le suivant : 

Lundi ▪  27/05 [20:00]

Tatiana Chernichka (Russie, 28 ans) | pause| Zhang Zuo (Chine, 23 ans)

Mardi ▪ 28/05 [20:00]

Rémi Geniet (France, 20 ans) | pause |  Roope Gröndahl (Finlande, 23 ans)

Mercredi ▪ 29/05 [20:00]

Stanislav Khristenko (Russie, 28 ans) |pause | Boris Giltburg (Israël, 28 ans)

Jeudi ▪ 30/05 [20:00]

Yuntian Liu (Chine, 23 ans) | pause | Andrew Tyson (USA, 26 ans)

Vendredi ▪  [20:00]

Sangyoung Kim (Corée, 29 ans) | pause | David Fung (Australie/Chine 30 ans)

Samedi ▪ 01/06 [20:00]

Sean Kennard (USA, 29 ans) | pause | Mateusz Borowiak (Grande-Bretagne, 24 ans)

 avec l’ Orchestre national de Belgique sous la baguette  de  Marin ALSOP

Retrouvez en vidéo les prestations des candidats de ce samedi 17/05

Durant les demi-finales, chaque candidat s'est produit deux fois (en concerto avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie placé sous la direction du chef allemand Michael Hofstetter. Ils ont  tous joué  l’œuvre imposée, "Dream" de Frederic Rzewski dans leur proposition de récital  choisie par le jury. 

Revivez toutes les prestations des demi-finales en vidéo 

Les finalistes suivent à présent une semaine de masterclass à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth. Les  12 finalistes présenteront une sonate (de Haydn, Mozart, Beethoven ou Schubert), suivie de l’œuvre imposée inédite et d’un concerto au choix. Les candidats seront accompagnés par l’Orchestre National de Belgique sous la direction de la chef américaine Marin Alsop. Le classement des finalistes sera dévoilé par le président du jury, le samedi 1er juin en fin de soirée.

Pour la 1ère fois cette année, la couverture de la semaine de finale est commune aux trois média (radio, télévision et web). Les six soirées de finales sont ainsi diffusées en direct dès 19h50 sur La Trois (en TV), Musiq’3 (en radio) et sur les sites www.musiq’3.be, ARTE-Liveweb, le site du Concours Reine Elisabeth et Cobra.be. Toutes les prestations sont également rediffusées chaque soir en différé sur ARTE Belgique. 

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Commentaires

  • administrateur théâtres

    C’est en effet Michel Petrossian qui a remporté le Concours international de composition , lié traditionnellement au concours instrumental. Son œuvre « In the Wake of Ea » a été choisie parmi 141 partitions venant de compositeurs des cinq continents. Elle sera donc interprétée, la semaine prochaine au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, par les 12 finalistes du Concours de piano, qui se succèderont 2 par 2 du lundi  au  samedi soir.

    Grand Prix Reine Elisabeth de Composition 2012

    Le compositeur français Michel Petrossian a gagné le Grand Prix International Reine Elisabeth de Composition 2012 avec son oeuvre In the Wake of Ea. Le prix de 10.000 euros est offert par la SABAM.

    Cette oeuvre à été choisie début décembre 2012 par un jury international. Du 27 mai au 1er juin 2013 l’oeuvre sera exécutée 12 fois au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles par les finalistes du concours de piano. Ils seront accompagné par l'Orchestre National de Belgique, sous la direction de Marin Alsop. Les 12 exécutions seront retransmises en direct en radio, en télévision et sur internet. L'oeuvre sera également édité sur CD.

    27/05/2013 : création de l’oeuvre avec l'Orchestre National de Belgique sous la direction de Marin Alsop 

  • Merci!

  • administrateur théâtres

    les commentaires en direct de l'ipad Xavier Flament: 

    http://www.lesoir.be/245182/article/culture/musiques/2013-05-18/con...

  • administrateur théâtres

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    Les 12 finalistes de la session piano 2013.
    De G. à D. 1ère rangée : Remy Geniet (France, 20 ans), Boris Giltburg (Israël, 28 ans), Sangyoung Kim (Corée, 29 ans), Mateusz Borowiak (Grande-Bretagne/Pologne, 24 ans), Yuntian Liu (Chine, 23 ans).
    2e rangée : Tatiana Chernichka (Russie, 28 ans), Roope Gröndahl (Finlande, 23 ans), David Fung (Australie, 30 ans), Stanislav Khristenko (Russie, 28 ans), Andrew Tyson (USA, 26 ans), Sean Kennard (USA, 29 ans)

  • administrateur théâtres

    Concours Reine Elisabeth : Yejin NOH danse autant qu'elle joue

    MDM La Libre Belgique

    Mis en ligne le 19/05/2013

    La Coréenne Yejin NOH, 26 ans, danse autant qu’elle joue son « Dream », personnel, jubilatoire, captivant.

    Le Finlandais Roope GRÖNDAHL, 23 ans, joue le concerto n°27 de Mozart avec un orchestre qui, à l’heure de la sieste, tarde à se connecter au jeu intimiste, raffiné, interrogatif – une vertu dans ce contexte - du soliste. Il manquera à cette version un minimum d’éclat et de projection, mais là, dans la bulle de Roope, technique souveraine et naturel confondant, Mozart est bien au rendez-vous.

    L’Ukrainien Sasha GRYNIUK, 29 ans, dont le récital fut un des hauts moments de la semaine, a choisi le sombre « ré mineur » de Mozart dans lequel l’orchestre, réveillé à coup de timbales, se fait plus attentif… D’emblée, le pianiste y atteste ce qui manquait à son confrère finlandais : le sens de la communication (le choix de son couturier l’annonçait déjà). Mais l’ensemble sera traversé d’accrocs trahissant la nervosité du musicien, avec des passages souverains et d’autres fébriles, parfois même à vide.

    La Coréenne Yejin NOH, 26 ans, danse autant qu’elle joue son « Dream », personnel, jubilatoire, captivant. Granados, donné dans des sonorités célestes, pourrait être le comble du kitsch, c’est tout simplement l’extase. Le sortilège se prolongera avec la 4e sonate de Scriabine et la barnumesque « Réminiscence de Norma » de Liszt, donnée sans effort, avec élégance, éclat, esprit, et l’air de s’amuser (que n’a-t-elle choisi autre chose…).

    La Japonaise Okada Kana, 22 ans, qui avait laissé le souvenir d’un Mozart inspiré et naturel, mène joliment « Dream » mais sans vision particulière et dans un spectre sonore limité. Les « Kinderszenen » de Schumann, nostalgiques et lointaines, innervées pourtant par une musicalité frémissante, manquent, elles aussi, de substance sonore et de contrastes. « Après une lecture du Dante » (une « vraie » œuvre de Liszt), rappellera le haut niveau de la candidate et fera découvrir, mine de rien, sa virtuosité.

    La bouleversante irruption de Bach

    En cette dernière soirée de demi-finale, les deux concertos de Mozart frisent la sortie de route, panique générale, le jury restera zen… Dans le concerto n°23, en la majeur, le Russe Stanislav KHRISTENKO, 29 ans, joue le drôle de Mozart qu’il a dans la tête : sans pédale, lentement, doucement, délicatement, avec un phrasé exclusif, fait de mini-suspensions ou d’accélérations internes qui, sans altérer l’agogique (au ralenti quand même), donnent au discours un caractère furieusement insolite. L’ours marche sur des œufs.

    Retour au son avec l’Isrélien Boris GILTBURG, 28 ans, seul candidat à avoir choisi le concerto n°15, en si b majeur de Mozart. Son toucher franc et coloré y fait merveille, avant qu’un passage à vide (prolongé) entraîne une déstabilisation générale… Très beau mouvement lent, tel un choral recueilli (avec encore quelques nuages) et finale brillant, bondissant, nuancé. On respire.

    L’Américain Sean KENNARD, 30 ans, a choisi pour son récital un vrai programme de concerts, mais les impromptus de Schubert, se révèlent malheureusement nébuleux, lisses, en demi-teintes (Kennard a-t-il déjà entendu Radu Lupu ?). La Ballade n°1 de Chopin, déconstruite, tour à tour éteinte et frénétique, est à considérer comme une erreur. « Dream » est honnête mais sans valeur ajoutée, et c’est dans le périlleux « Petrouchka » de Stravinski, que Sean donnera le meilleur.

    Le Britannique (et Polonais) Mateusz BOROWIAK, 24 ans, ouvre avec la 2e Partita de Bach et, soudain, c’est le bonheur absolu. Nous avions dit « terrien », pour son Mozart, c’est plutôt « cosmique », terre et ciel réunis dans une danse immémoriale, avec une technique du feu de dieu. « Dream », électrisant et burlesque (avec une petite « variation » à la mesure 103), et, enfin, « Gaspard de la Nuit » supersonique mais intense et caractérisé, avec quelques effets structurels hallucinants.

    Remy Geniet, naturellement surnaturel

    Le Coréen Joon KIM, 30 ans, qui nous avait déjà frappé par un récital tourmenté et nostalgique, nous livre un concerto n°24, K. 491 de Mozart dans le même climat, avec un toucher clair et délié, et de belles sonorité. La verticalité de l’andante, par ailleurs peu chantant, accentue cette impression de mélancolie et il faudra le finale pour atteindre une certaine exubérance, plus rageuse que jubilatoire.

    Remy GENIET, français, 20 ans et benjamin de la session, a choisi le concerto en ré mineur qu’il aborde avec simplicité et allant, le tempo est rapide mais sous contrôle et offre à l’ensemble un caractère fougueux et juvénile, dont l’opéra n’est jamais loin (avec la complicité de l’orchestre). Mouvement central superbe d’ampleur et d’unité, orage central compris, et démarrage en trombe pour le final (enchaîné, et tant pis pour les tousseurs), un poil trop vite, parfois proche du point de rupture mais grisant d’énergie, de beauté et d’invention.

    Si Sangyoung KIM, 29 ans, a les moyens rêvés pour jouer Scriabine - agilité, dynamisme, couleurs, poésie même - il lui manque la puissance et la profondeur de son. Et elle muse à tue tête. Après un « Dream » personnel, abouti, très vivant, Beethoven pâtira de l’idée saugrenue de marteler trois notes du thème de façon récurrente – au milieu d’un tas de bonnes choses.

    David FUNG, Australie, 29 ans, balance un « Dream » bien enlevé au début mais bâclé en fin de course. Les sonates de Scarlatti – auxquelles conviendrait en principe son jeu net et percussif – sont inégales, étonnamment dépourvues de couleurs, et manquent leur rendez-vous avec la danse. Le musicien se révèle plus engagé et inspiré dans le Prélude op. 32/10 de Rachmaninov et si l’op. 110 de Beethoven – trop sec, trop rapide - est contestable, il n’en est pas moins très musical et d’une totale intégrité.

  • Dommage que nous n'aurons aucun représentant...

    Merci à Monsieur Paul et à Deashelle de nous faire partager ces moments intenses

    Bon dimanche

  • administrateur théâtres

    Le moment attendu avec anxiété:  La proclamation des finalistes 20132965971501?profile=RESIZE_1024x1024

  • administrateur théâtres

    2965970341?profile=RESIZE_1024x1024L 'émotion est grande... 2965970493?profile=RESIZE_1024x1024

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