Votre parfum,
haleine d’une vague,
chaude et bleue,
diffuse,
puis un souffle ;
envisageable vie.
Vague à l’âme,
creuse mon cœur,
le traverse,
le bouleverse,
le déconstruit un peu ;
larmes salées sur mes joues,
enfiévrées,
vierges de vos mains,
de vos doigts, de vous.
Oh caresses imaginées,
perpétuées de page en page ;
vaguement, ici et là je suis,
car trop entière à vous.
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