Or la ville étalait tous ses petits
métiers par les rues pavées
Vers cinq heures la pluie catastropha
les heures dorées vers les touristes
pensifs
Sur d'immenses terrasses devisions au
sein des fumées de pipes
Soudain, ô Gamaliel, un rayon d'or
traversa le ciel et l'on vit en chair
dorée rutiler le beffroi sous les
fronces du ciel funèbre
(Poussière d'âme , éditions Chloé des Lys, 2009)
Commentaires
Merci à toi Nada!
Belle aquarelle et jolie poésie, merci Claude, et bon dimanche !
Adyne, Marie-Josèphe, Rosyline, merci en espérant que le ciel retienne ses ondées car je vais jardiner à l'instant!
un vrai déluge comme il nous en arrive parfois ces temps-ci ! Effectivement, il fallait monter en grade pour pouvoir l'exprimer et bien sûr tu as su le faire... bravo, mj
Bonjour et merci Claude pour cette profusion d'oeuvres, et malgré la pluie, il y a beaucoup de lumière, j'aime beaucoup ce rendu.
J'en profite pour te remercier pour l'invitation au vernissage.
Bon dimanche. Adyne