Aux nuages, j’ai dit ce jour:
Vous comblez mon coeur d’allégresse.
Venus d’un ailleurs fabuleux,
Ils envahissaient le ciel bleu.
Ils y flottaient sans turbulence,
Isolés et dans le silence,
Quand le soleil les prit pour cibles.
Soudain, un courant les poussant,
Ils s’unirent en continents.
Je suivais ces métamorphoses,
Et je vis, au niveau d’un toit,
Dans un îlot,danser ma joie.
15/7/93
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