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Mon coquillage



Dans mon vaisseau, Drakkar nacré, de tout les ports
Il ne m'est point nécessaire de gouvernail,
Les plages me sont d'infinis aéroports
D'où j'émerge ou me pose sans nul attirail.

Je n'ai nul besoin sous d'éternels cieux bleus
De laines chaudes, de chapeaux en ombrage,
Un simple voile sur mon corps nu vaporeux
Me dissimule au monde des yeux volages.

Il me suffit de m'élever profondément ;
Cette pose que vous voyez mains ouvertes
A cueillir l'éternité d'un fuyant moment
N'est qu'un mirage sur une plage déserte.

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Commentaires

  • Profitons au maximum de ces furtifs moments de bonheur ou de méditation que nous offre la vie.

    Merci Gilbert pour ce partage de votre morceau de plage. Amitiés. Anne Marie

  • Bonsoir Gilbert,

    Quoi de plus beau qu'un mirage sur une plage déserte ou dans d'autres lieux où notre imagination nous conduit dans les rêves les plus fous. 

    Amitiés

    Josette

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