À mon fils Alain
J'ai l'âme ensoleillée, tranquille, sans élans.
Mon ailleurs resplendit, inondé de silence.
La neige, sur les toits, les revêt de brillance.
Mon coeur, au ralenti, fait circuler mon sang.
Mon ailleurs resplendit,,inondé de silence.
Les ombres son figées, sans le souffle du vent.
Mon coeur, au ralenti, fait circuler mon sang,
Mon esprit, au repos, accueille l'indolence.
Les ombres sont figées, sans le souffle du vent
L'énergie ne provoque aucune effervescence.
Mon esprit au repos accueille l'indolence.
Je savoure comblée la grâce de l'instant.
L'énergie ne provoque aucune effervescence,
Mais le courant de vie ne cesse pour autant.
Je savoure comblée la grâce de l'instant,
Pénétrée de la joie que permet l'innocence.
7 février 2013
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