Propos
J'ai eu hier soir, l'immense privilège d'assister, grâce à la magie de la télévision, à un concert donné par l'orchestre philharmonique de Vienne.
Le pianiste, au premier plan, était Lang Lang, dont je n'avais jamais entendu le nom.
Je fus fascinée par la joie qu'il exprimait en jouant avec une dextérité indicible.
À la fin du spectacle il a interprété la marche turque de Mozart. Ce fut un enchantement.
Me retrouvant à méditer, j'ai ressenti une immense tendresse pour les très nombreux musiciens motivés par un chef d'orchestre émérite.
Chacun d'eux par son intelligence, sa sensibilité, son talent et son savoir, acquis à la suite de longues années d'efforts soutenus, fait honneur à race humaine.
Emplie d'émois et d'admiration, je me suis sentie toute petite.
23 août 2014
Commentaires
Un beau plaisir qui va certainement donner suite à une belle inspiration d'écriture, j'en suis convaincue pour une prochaine lecture, Jacqueline