D’amour ou de mélancolie,
Ma rue a tendrement pleuré.
Les arbres sont d’un vert mouillé,
Et les fenêtres sont en larmes.
Pas de parapluies colorés,
Pas de passants qui s’y attardent.
Personne pour la regarder.
Le soleil la consolera
D’amour ou de mélancolie,
Ma rue a tendrement pleuré.
Les arbres sont d’un vert mouillé,
Et les fenêtres sont en larmes.
Pas de parapluies colorés,
Pas de passants qui s’y attardent.
Personne pour la regarder.
Le soleil la consolera
Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !
Commentaires