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aquarelles (7)

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Quelques photos   de présentation   de mes aquarelles

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Portraits   -   paysages   -   fleurs   -   nus   -   marines

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55 aquarelles ont été présentées

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visite dans deux salles continues

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un petit aperçu

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reportage paru dans toutes les éditions régionales du groupe Vlan

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vous souhaitez découvrir l'endroit, voir plus de photos,

faites un passage sur ma page Facebook et découvrez  la salle plus amplement

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administrateur théâtres

EXPO : Ferdinand Schirren, EN PROMENADE DANS SES JARDINS IMAGINAIRES.

 

22.11.11 > 04.03.2012 au Musées royaux des Beaux-Arts

Salles Fondation Bernheim et René Boël

Les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique poursuivent la mise en valeur d’artistes moins connus, mais bien représentés dans leurs collections, en proposant une exposition cette saison, consacrée à Ferdinand Schirren (1872 – 1944). Cet artiste est considéré comme le premier ‘fauve’ belge. Lors de séjours à Paris, il entre en contact avec les œuvres de Signac, les nabis et les jeunes fauvistes. Il restera cependant dans l’ombre de l’omniprésent Rik Wouters.

Toutefois, grâce à leurs dernières acquisitions, les Musées possèdent un ensemble d’œuvres de Ferdinand Schirren représentatives de toutes les phases de son évolution artistique ainsi que des différentes techniques qu’il employait. Il débute comme sculpteur. Son œuvre maîtresse, qui est aussi une œuvre de jeunesse, est un buste d’Helena P. Blavatsky, grande dame du mouvement théosophique, un courant ésotérique basé sur l’étude comparée des religions. Ce portrait, d’une expressivité étonnante, est unique vis-à-vis de la  production sculpturale  que le visiteur pourra aussi découvrir au fil de l’exposition.

Revirement de Schirren en 1904 vers la peinture et le dessin. Il  confère une grande autonomie à la couleur, à partir de laquelle il construit les formes, des volumes sculpturaux. Retiré dans la quiétude de la campagne brabançonne, il aboutit vers 1906 à des résultats proches des aquarelles de Matisse, Manguin ou Camoin réalisées à Collioure en 1905. On peut admirer ses premières peintures à l’huile datant de 1904 et des aquarelles de 1906, qui témoignent  d’un « tachisme nerveux ». Couleurs brillantes.

 Durant la Première Guerre Mondiale, il se met aussi à la peinture à l'huile mais, vers la fin des années 20, il opte à nouveau pour la peinture à l'aquarelle, où le constructivisme refait son apparition et dans laquelle la palette reste atténuée. Plus tard, la facture deviendra plus libre et plus colorée avec des modulations de teintes floues caractéristiques. A surtout peint des intérieurs avec figures, des nus, des portraits, des paysages et, vers la fin de sa carrière, également des natures mortes. Dans les dessins et surtout dans les aquarelles, Schirren fait preuve dès le début d’une aisance certaine et d’une audace qui ne se retrouveront dans sa peinture qu’à partir de 1917 avec son chef-d’œuvre «La femme au piano». «Maternité» est une harmonie de couleurs saisissante, les deux visages de la mère et de l'enfant  noyés d'amour émergent de flots de couleurs verts et bleus. Une Nativité ? La couleur comme moyen essentiel de construire une œuvre synthétique devient alors le fil conducteur jusqu’à la fin de sa vie, bien qu’en tant que sculpteur, il ait également un vrai don pour le dessin ‘noir et blanc’ et une attention particulière pour la forme.

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Entre 1910 et 1912, il travaille d’ailleurs essentiellement au fusain ou à la sanguine. Ces dessins – scènes d’intérieur, nus et portraits – sont d’une grande sensibilité et d’une douce expression.

 « Intérieur symboliste »,  est un pastel sur papier, barré  entièrement d’une pluie d’or. Le personnage assis sur une chaise  nous tourne le dos et fixe une toile verte qui fait penser aux nymphéas. « Sur le sable » nous parle de l’été, un  transat à rayures et une tente de plage y sont à peine esquissés, le reste, c’est le rêve, personnifié dans  la silhouette d 'une femme assise.Vous l’aurez compris, entre sculptures, peintures, aquarelles et ‘noirs et blancs’, cette exposition consacrée à Schirren fera le bonheur de chacun. Avec des sujets relevant surtout de la vie intérieure, une œuvre souvent intimiste et des aquarelles d’une matérialité « évasive », SCHIRREN NOUS EMMÈNERA EN PROMENADE DANS SES JARDINS IMAGINAIRES.

Visites guidées sur rendez-vous

infos : reservation@fine-arts-museum.be

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Ferdinand Schirren, Au jardin, (vers 1906)
Aquarelle sur papier, 70 x 54 cm
MRBAB-KMSKB, Bruxelles, © Sabam Belgium 2011
Grafisch Buro Lefevre, Heule © MRBAB - KMSKB

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mes stages dans le Queras en 2011

Avis aux amateurs et... amatrices. Un stage plein soleil à 1000m d'altitude, plus gastronomie, plus peinture sur la terrasse que l'on voit sur la photo.. Le patron de cette auberge est un champion.. de cyclisme.. champion de France même.. Ca n'a rien à voir avec l'art que vous pratiquerez ici mais c'est pour vous dire que nous serons servi par un champion..!

 Nous serons donc à l'auberge de l'Auchaugette à l'intérieur du fort de Mt Dauphin (forteresse Vaubanisée..)

 voir plan sur google maps

Les paysages ne manquent pas de charme ici, la lumière est au rendez vous, la chaleur de l'été atténuée par l'altitude.

   Mais j'ai l'intention de vous proposer  le matin ou l'après midi une thématique autre, au delà des simples paysages. Peintures de portrait , figures sous l'ombrage de la terrasse.

Dites moi entre nous si l'idée vous tente..

 

Dates retenues :  Fin du mois d'Août et Septembre en  1ere semaine.

 Les inscriptions  se feront dès la mois d'Avril avec un acompte de 200€ par personne  (Chèque )

 

auberge de l'echauguette

 formule forfaitaire de 650€ tout compris (cours et pension complète) pour la semaine du dimanche soir au vendredi soir

 

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l'agent double trouble

Je me souviens de cette appellation écrite par un journaliste de la presse locale. Le titre de son papier était :

Gegout, un agent double ?


Ce confirme au fil du temps cette double appartenance, Gegout le peintre qui fait des peintures plus ou moins glauques et pas forcément "belles" et l'autre Gegout, aquarelliste pratiquant l'art plus concret du carnet de voyage.

Cette apparente skyzophrénie trouble et dérange plus d'un amateur d'art qui aimerait étiqueter l'artiste que je suis.

La piazza del campo à Sienne aquarelle 25x25 2010 gegout©

piazza-détail--ok--blog

Désolé de vous dire que j'aime cette liberté de l'artiste. Je revendique le droit de passer sans avoir à me déguiser d'un monde à l'autre, passer du carnet de voyage documentaire ou les aquarelles sont aussi des illustrations, à un monde plus introspectif ou j'exprime mes angoisses humaines et existentielles.

Dans tous les cas, je reste moi-même, convulsif frénétique et passionné..!

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Sienne de ville..!

Je mets la dernière touche à la rédaction de ce carnet en Toscane.

Encore la Toscane vue par un artiste..!sanguine

Après tout, j'ai fait Venise et j'y retourne de suite.. bref, faute de Venise, je me paye la Toscane. Ne vous méprenez pas, je ne compare pas Venise et la Toscane. On ne peut pas aimer Florence si on aime "trop" Venise.

Florence est écrasée étouffée de trafic. Trafic qui tue le plaisir de la déambulation dans ses rues offertes aux bagnoles.

Alors ici, on se réfugie dans les musées ou les voitures ne sont pas encore acceptées. Alors , voir Florence et ses musées, Venise et ses pavés libérés.

Et je reviens sur la toscane avec le choc de la ville de Sienne. Et je constate l'amour de ces Italiens pour les moteurs pétaradants. Le jour de notre arrivée à Sienne, c'est le défilé des chevaux.. pas de ceux qui hénissent, ceux qui rugissent, les 12 cylindres sont là sur la Piazza del Campo, le rouge Ferrari à remplacé la terre de Sienne et ça se voit, ça s'entend de ruelles en vitrines qui en vibrent de ferveur ou frayeur...?

La suite demain..

aquas floor

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la magie des rencontres

Je reviens de Beaurepaire comblé, comblé par l'accueil des organisateurs bénévoles, par la magie des rencontres. Placé juste par hasard à coté d'un couple (Mathey et Favrat) qui raconte un voyage à vélo du Pacifique au pays du Mt Blanc, 18000kms de galère et de bonheur..

Moi avec mon "Rhône et ses rives", j'ai l'air d'un minus.. Beaurepaire à refaire

un peu plus loin un Certain Etienne Druon, passionné par la jungle et ses bestioles..je vous raconte pas ses aventures...un parcours riche en cicatrices en tout cas.. Je ne veux pas tous les citer, Bayart et les autres, tous fous de leur monde.

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l'enfer du décor

Vite, de retour des terres de Sienne, je ne résiste pas au plaisir sadique de dévoiler l'envers du paradis .. Ici bas qq-part en Toscane,une des photos emblématiques mise à mal.. par un cadrage indécent..

Le groupe de cyprès et à droite l'élément perturbateur..

gegout©2010

SDC10295

Tout individu visitant cette Toscane sera confronté à cette photo déclinée sous tous les produits dérivés.. calendriers et cartes postales.. Une sorte de madone végétale, une Mona Lisa sylvestre.. un David au sexe lon.. et multiple..!

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