Plus rien n'est reconnaissable avec le temps,
Les esprits même s'en sont trouvés modifiés,
Est-ce parce que surgissent les cheveux blancs,
Que les voilà tapis tout au fond des greniers ?
GCM
Pensée du jour. 10/4/2025
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Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
1984: "La guerre c'est la paix. La Liberté c'est l'esclavage. L' ignorance c'est la force."
Publié(e) par Robert Paul le 3 novembre 2013 à 1:30
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Commentaires
"Depuis l'âge de six ans, j'avais la manie de dessiner la forme des objets. Vers l'âge de cinquante ans, j'avais publié une infinité de dessins. Mais, tout ce que j'ai produit avant l'âge de soixante-dix ans ne vaut pas la peine d'être compté. C'est à l'âge de soixante-treize ans que j'ai compris, à peu près, la structure de la nature vraie des animaux, des herbes, des arbres, des oiseaux, des poissons et des insectes.
Par conséquent, à l'âge de quatre-vingt ans, j'aurais fait encore plus de progrès et, à quatre-vingt-dix ans je pénètrerai le mystère des choses. A cent ans,je serai décidément parvenu à un degré de merveille,et quand j'aurai cent-dix ans, chez moi,soit un point,soit une ligne,tout sera vivant.
Je demande à ceux qui vivront autant que moi de voir si je tiendrai parole.
Ecrit à l'âge de soixante-quinze ans par moi, autrefois HOKUSAÏ, aujourd'hui GWAKIO ROJIN , le vieillard fou de dessin.