J'ai quitté la ville et ses lumières
Fuyant les diatribes nombrilistes
Le pourrissement de l'atmosphère
La cupidité et l'affairisme
Tour à tour phalène ou sédentaire
De ma vie je savoure la quintessence
Tel un griot léger et solitaire
Chaque jour, chaque heure, devient plus intense
L'amour, la tendresse, les sphères étoilées
La beauté du monde, la force de l'espoir
Le soleil, la pluie et la douceur du soir
Ravissent mon cœur, aux heures diaprées
Ces heures où sortant du combat vainqueur
Blessé, mais serein s'avance le bonheur
Commentaires
Ah! voilà un texte qui fait du bien, qui trouve vraiment écho en moi. Merci Marcelle
Merci Martine !