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LE TEMPS DE L'ENFANCE

12272745874?profile=originalLes êtres humains ont besoin d'aimer.... Ce bébé chinois bien propre bien habillé  au sourire moqueur !!mais qu'il ne faut pas trop toucher . Le son et la paille sortent en pluie de son ventre et de ses articulations, son corps et sa tête  en papier maché sont devenus trop blanc car il lui fallait une restabilité pour s'asseoir ainsi sur la soie du coussin dans le salon
Il fût en son temps un ami fidèle .....un confident  et les sensations sont revenues en  relisant un vieux livre retrouvé "Jane Eyre" de Charlotte Brontë  un régal de nostalgie romantique je vous citerai  Amis un passage  dans le groupe "Que lisez - vous "
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Commentaires

  • Merci Arlette, j'irai voir cet extrait de Jane Eyre dans "Dis-moi ce que tu lis". A très bientôt!

    Bonne soirée.

  • Bene

    Moi aussi, mais en relisant Jane Eyre  je trouve que l'histoire de  Charlotte est bien montée aussi  mais il me semble que tout ça aussi est une histoire de famille entre frères et soeurs , il faut que je cherche des documents

    Ah!!!! les doudous nous entraînent bien loin .............

  • Erreur cet extrait est dans "Dis moi ce que tu lis" de Deashelle

    Désolée

  • Pascale

    Suis très émue de ton commentaire et tu as bien ressenti cette nostalgie  ..!!! c'est en relisant ce passage tout au début de Jane Eyre pourtant déjà lu !! il est pour cela important de relire les bons livres car nous les percevons avec le temps de façon différente Je l'ai  copié dans le groupe "Que lisez-vous " il y a qq jours  tu peux le retrouver

    Merci à toi Belle soirée  Arlette

  • Chère Arlette, ton doudou chinois, ton confident de l'enfance, à ne "pas trop toucher", était proche et distant à la fois, tu l'avais apprivoisé, en quelque sorte, comme "un ami  fidèle".

    Tendre évocation de cette nostalgie de l'enfance.

    Il me fait penser à un petit bébé chinois, que j'ai reçu, plus âgée, couché sur un joli tapis de soie rouge, avec un hochet en mains, je l'admirais, car il était juste là pour le regarder, étant si fragile, en une sorte de porcelaine, aux bras articulés.

    J'avais reçu mon premier bébé à Noël, dans un berceau rose à volants, ravissant! J'ai beaucoup joué avec ce bébé, étant petite, depuis 1963 justement, comme le poupon de Marie-Ange. Il était aussi en plastique dur, aux cheveux dessinés comme des vagues en relief sur la tête, et s'appelait Marie-Noëlle, je l'ai encore aujourd'hui, avec toute la panoplie de vêtements tricotés et cousus par ma mère et ma grand-mère. Le berceau était si joli qu'on aurait eu envie de s'y endormir, comme le bébé... 

    Jane Eyre est un roman qui m'a aussi beaucoup touchée, dans la jeunesse, je l'ai lu deux fois, j'aimais son romantisme, et l'histoire intense et douloureuse que Jane vivait. Il a soulevé des tas d'émotions alors, et j'aurais bien envie de le relire cet été.

    Ton partage nous fait revivre de doux moments, merci pour cette invitation à retrouver, pour un temps, notre coeur d'enfant, notre  sens de l'émerveillement!

    Amitiés estivales,

     

    Pascale

  • Deashelle

    Pas grave !!mon oeil "typographique"  à rectifié cette confusion  il nous arrive à tous ce genre de mésaventures

     

  • administrateur théâtres
     

    L’émotion, sans doute, m'a fait faire de grands dérapages typographiques:

     

    Née en plein baby boom, j'ai ce souvenir cuisant des poupées interdites car cela faisait trop" fille...." . Abstinence affective des années 50 oblige!

    Le souvenir de la seule  poupée en celluloïd jamais reçue,  offerte par ma grand-mère paternelle, cachée puis quand-même volée par ma mère qui la garda en otage si je voulais récupérer mon premier dictionnaire Larousse reçu pour mes 10 ans et lui aussi, dérobé!

     

    Et à choisie entre la poupée et le dictionnaire, je choisis le dictionnaire !

     

    Pas étonnant que le livre de Jane Eyre ait fait jaillir en moi émotions intenses et larmes. Je l'ai lu au moins trois fois!

  • Chris

    Ce qui me séduit  dans le partage ,  c'est le rebondissement de la pensée  qui fait jaillir par nos échanges des idées lointaines

    Petit et grand Proust ...!!que j'emporterais sur une ile déserte car à tout âge il fait vibrer des émois inconnus

    Merci pour ton attention

  • Deashelle Oui toute cette éducation !!! chaque génération a eu ses tabous !!!! et la pauvre Jane  a tellement souffert  je pleurais en lisant son histoire et la trouvais admirable  un peu mélo de nos jours mais si romantique

    Merci du partage

  • administrateur théâtres

    Née en plein baby boom, j'ai ce souvenir cuisant des poupées interdites car cela faisait trop" fille...." . Abstinence affective des années 50 oblige!

    Le souvenir de la seule  poupée en celluoïd jamais reçue,  offerte par ma grand-mère paternelle, cachée puis quand-même volée par ma mèrequi la garda en otage contre upérer mon premier dictionnaire Larousse reçu pour mes 10 ans et lui aussi, dérobé!

    Pas étonnant que le livre de Jane Eyre ait fait jaillir en moi émotions intenses et larmes. Je l'ai lu au moins trois fois!

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