Écouter chanter Moustaki
Me conduit dans une clairière.
À l'ombre ou en pleine lumière,
Surgissent des aveux acquis.
Se promenant, il soliloque,
Il chante, le sourire aux lèvres,
S'attendrit sur son nouvel être,
Se sent d'ailleurs, d'une autre époque.
Il vit libre, en l'état d'éveil,
Sensible à l'énergie vibrante,
Capte l'harmonie qui l'enchante,
Un émoi semblant sans pareil.
Ce troubadour, qui se perçoit
Sans se donner de l'importance,
A reçu de la providence
Le don le plus charmant qui soit.
Je parle de lui au présent.
Est invulnérable aux dommages,
Sa vitalité en images.
Elle a échappé au néant.
23 janvier 2018
Commentaires
Un message que le facteur n'oubliera pas.