Aux heures sombres du soir,
Toi, que je ne veux recevoir ,
Tu t'invites à ma table
Oh ! Vil misérable !
Tu voudrais faire festin de roi,
Te gaver de tout mon désarroi,
Engloutir mes rêves, mes espoirs
Pour m'empêcher encore d'y croire ...
Tu voudrais te soûler de mes pleurs,
Mais cela n'est qu'un leurre,
De ma coupe ne coule que du miel,
Dans mon coeur , il n'y a point de fiel.
Vains sont tes efforts pour m'envahir
Jamais je ne te laisserai me saisir.
Sors! Va-t-en ! Il est trop tard.
Adieu ! Maudit cafard !
Commentaires
Merci à vous deux , Claudine et Serge pour vos commentaires .
Je dois encore travailler ce petit poème pour lui donner plus d'ampleur, plus de hauteur ...peut-être que je pourrais y arriver ...Qui sait ?
Amitiés.
Liliane.
Un gentil suspens bien exprimé.
Bonjour Liliane.
C'est ce que l'on appelle de la force de caractère sur un beau support : la poésie.
Bravo à toi et à ton poème.
Amitiés, Claudine.