Et la porte était close
Et closes mes amours
Et la porte était nue
Si ténus ses discours
Restait le vent du nord
Au nord de mes espoirs
Restait le vent du soir
Quand le soir bat la mort
Puis restait un encore
Quand en corps vit la plaie
Un désir un remords
Que la porte appelait
Mais la porte était close
Et closes mes amours
Mais la porte était nue
Nu l’appel au secours
O vêtez-vous les anges !
Commentaires
Merci Nina
Oh quelle magnifique poésie ! je connais cette morsure sombrement fleurie, cet amour là ..............
Merci pour ce partage Pascal. Amicalement. NINA