Protégé ses intempéries,
Le moteur vaillamment fonctionne,
Mais, hélas! la carrosserie
A des dégâts qui m'impressionnent.
Faut faire avec et avancer.
Le corps n'est pas une voiture
Que l'on peut certes remplacer.
On s'habitue et l'on endure.
Mes yeux sont demeurés brillants.
Mon humeur, bien souvent amuse.
Elle a un pouvoir distrayant
Et parfois, moi-même, m'abuse.
On ne me prend plus en photo,
Voulant emporter mon sourire,
Mais on me demande, plutôt,
De ne pas arrêter d'écrire.
Un compliment qui réconforte,
Ma muse recueille son dû.
L'espérance entrouvre la porte.
Je me dis: tout n'est pas perdu!
21 septembre 2013
Commentaires
La quintessence musicale de l'esprit
Dans tous vos poétiques écrits.
Bien rares capables sont ceux
Pouvant donner tant de beaux fruits
Jusqu'à l'hiver rigoureux de leur vie
Et par eux nous rendre heureux !
Belle conclusion très optimiste, j'aime beaucoup!
Bonne journée.
Adyne