Quelle joie, quelle libération, pour prendre un exemple, hier, quand j'ai refait le tour, à vélo, sur la Place Flagey, entre les cercles de huit assis carrément sur le sol, entre els arrêts d'bus, entre les petits points d'où l'eau peut carrément sortir, entre les gens.
Y avait si longtemps que je n'avais plus enfourché de bécane !
Après les quatorze heures de boulot (eh non, ça ne s'améliore pas de ce côté-là), y avait une heureuse compensation.
Oui, oui.
Je ne m'attarderai pas trop, ce matin, sur le "boulot". Sauf que ... je dois trouver une solution. Je ne peux pas carburer à un rythme aussi long, aussi sout'nu, faire des heures supplémentaires avec une épée de Damoclès sur le dos, des clients (en cours de tournée) qui me balancent volontiers (avec le ton ironique qu'on leur connaît) l'éternel "Vous travaillez encore à cette heure-ci ?". Lundi, c'est décidé, je vais voir un méd'cin.
En attendant ...
J'ai passé une magnifique soirée, hier, au Bizou, à Anderlecht. Pratiqu'ment tous les potes de chanson étaient là. J'en ai découvert d'autres, très très passionnants.
Et ... tout ce que je n'écrirai pas ce matin, tant la fatigue résonne encore, tant j'ai (encore un peu) la gueule de bois.
Et ... tout ce que je n'écrirai pas ce matin, tant les mots ne viennent pas forcément sur commande (tant le sentiment et les images résonnent).
Merci, les potes, d'avoir visité mon antre (mon "chez moi") vers trois heures du matin. Merci à vous d'avoir ... savouré mon chocolat. J'ai plein de choses à écrire, à décrire encore ...
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