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journal de bord, jeudi 26 mai 2011 (1)

Très curieus'ment, ma tendance à faire des cauch'mars se passe, opère toujours dans les périodes de week-end, de congé à mon boulot toutes les cinq semaines, plutôt que ... les semaines où je travaille, où je me lève vers quatre/cinq heures du matin (où, parfois, je ne dors carrément pas de la nuit).

 

L'idée de me relâcher sur l'oreiller, parce que je sais qu'il n'y a plus d'épée de Damoclès sur le dos ... jouerait-elle sur mon inconscient ?

 

Toujours est-il que, la nuit dernière, au cours de mon sommeil ...

 

Je me trouvais à une réception. J'y reconnaissais, parmi les invitées (mariées/mères de famille), l'une ou l'autre élève du cours de solfège (ou de piano) de ma mère.

 

Voilà que ...

 

L'une d'entre elles, sur un canapé assez étendu (où je me suis déjà assis), s'approche de moi et entame la conversation. En me souriant. Je réponds. Un dialogue s'instaure.

 

Soudain, le mari, juste à côté (de la femme) se manifeste, me regarde droit dans les yeux. Je m'aperçois que ma main droite, sans que je ne le remarque, s'est immiscée derrière la jupe de ma voisine et touche la chair de sa cuisse ...aussi chaude et aussi agréable à toucher qu'un pain de campagne croustillant sortant tout droit du four. La fille, quant à elle, continue sur sa lancée, dans la conversation. En toute convivialité. Quant au mari, sans rien dire, il quitte le fauteuil, furieux.

 

Moi, je me sens mal. Pris en faute. Emmerdé. Je file m'installer plus loin sur le divan étendu.

 

Le mari revient. Me menace. Comme de bien entendu.

 

La séquence suivante ...

 

Je me retrouve dans la voiture d'un autre couple d'invités, qui rentrent chez eux et se sont engagés pour me reconduire à bon port.

 

Voilà que ...

 

Je m'aperçois qu'ils conduisent dans une toute autre direction ... que celle qui me convient.

 

Je le leur signale. Ils disent : "C'est trop tard !". Je les supplie de me décharger, de me laisser repartir dès qu'on aperçoit un parking. Silence. Le parking qui arrive, sur la droite, comme par hasard, se trouve au bout d'une longue descente et juste avant un tunnel. Peine perdue. Je signale au conducteur que ... je dois absolument récupérer mon GSM. Qui se trouve vraisemblablement sur les lieux de la réception. En vain, en vain.

 

Toujours est-il que ...

 

Je me réveille ensuite.

 

Là, nous sommes revenus dans la réalité.

 

Je me réveille dans le chalet, à Oignies, où j'ai trouvé un hébergement, lors de mon mini-pélerinage sur les chemins de Saint-Jacques.

 

Il est presque six heures ... du matin. Le soleil se lève déjà. Derrière les arbres, y a comme un semblant d'incendie.

 

Hier soir, j'ai, effectiv'ment, dans le chalet, mis mon GSM en rechargement et j'ai eu peur (instinct de conservation ?) de l'oublier, dès que je quitt'rais les lieux.

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