Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

journal de bord, dimanche 19 juin 2011

Pluie averse, aux premières heures du matin. Ca ne dure jamais. Même si on croit entendre les chutes du Niagara. Même si un semblant de mousson semble faire son numéro.

 

Paraît que Ségolène Royal, la politicienne, aurait été insultée dans un meeting.

 

J'aim'rais approfondir le sens d'un mot (de la lange française) que j'ignorais : ergonomie.

 

En attendant ...

 

L'éclaircie revient sur ses pas.

 

J'aurais pu dormir un peu plus. Mais ça ne s'est pas fait. Très curieus'ment, quand on s'endort vite, quand on dort bien, on se réveille parfois ... trop vite. Tel est parfois mon sentiment.

 

Mais voilà, aujourd'hui est un jour comme les autres.

 

Juste un souci, dérisoire dans l'absolu, scalpant pour moi : j'ai perdu mon appareil photo. Hier, à une fête où je me suis rendu avec des amis. J'ai un vague souv'nir de l'endroit où je l'avais laissé (quand, après avoir pris conscience de sa perte), j'ai tenté de refaire le flash back de la situation.

 

On me rappell'ra peut-être, tout à l'heure, demain, pour me dire ... qu'on l'a retrouvé.

 

Dans l'état d'esprit où je me trouve, maint'nant ...

 

C'est comme si j'étais orphelin.

 

Même si je sais que les cent premières photos, qui étaient intégrées dans ma carte-mémoire, je les ai fait dév'lopper la s'maine dernière et que j'en aurai des traces matérielles, en photos traditionnelles, mardi proain, jour où elles auront été dév'loppées.

 

Le pire, c'est que hier, là où je logeais, en allant me coucher, je suis retombé sur ... mes chèques-repas, bien disposés sur une table en bois, dans une env'loppe d'où ils ne sont pas encore sortis. J'avais passé, chez moi, un temps non négligeable à chercher après, sans mettre la main d'ssus.

 

Quand les objets décident de nous faire leurs tours de passe passe, on est quand même impuissants.

 

Demain, après le boulot, y a de fortes chances que je me rachète un nouvel appareil. Sans me donner le temps d'attendre qu'on me rappelle ... pour me dire qu'on a retrouvé l'ancien. La dépendance à la chose qui manque, c'est pas (ou plus) mon truc.

 

Savoir qu'on avance (même si ça n'efface pas le choc de la perte), ça aide à rester debout, à entamer la journée ici présente qui s'annonce et ne sera pas plus moche que les précédentes (si je le veux, si je le décide).

 

En attendant ...

 

Comme on est fragiles !

 

 

Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés –

Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !

Join Arts et Lettres

Sujets de blog par étiquettes

  • de (143)

Archives mensuelles