Dans l'espace où finit ma vie,
De larges zones oniriques,
Comblent mon âme romantique.
Toute surprise me ravit.
L'instant, toujours, se volatilise.
Lors ses parfums s'en vont ailleurs.
Fort vite, il change de couleurs,
Parfois dans le rêve s'enlise.
J'entends souvent des vers que j'aime,
Écris, jadis en douce France.
Délicieuses confidences,
D'une fraîcheur restée la même.
Me plais à saisir des images
D'une impressionnante clarté,
À en révéler la beauté,
En utilisant le langage.
Je médite aux lueurs du soir
Pour comprendre ce qui m'importe
Et m'être utile en quelque sorte.
Je n'aime pas me décevoir.
30 avril 2017
Commentaires