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Je le sens qui m’épie

Je le sens qui m’épie il rôde entêté rapace,
Autours de mon être je renifle, parfois fugaces
Ses fragrances de Valériane, de Digitale ou de Muguet 
Tels des fantômes invisibles mais bien là aux aguets

Il se dit Narcisse, Angélique, du Sceau de Salomon. 
Il n’est que traîtrise et fourberie. Un vrai démon.
Certains s’en accommodent s’en font même un frère. 
Un confident dans leur folie. Un faux ami un pervers

Je le sais pathologie grave, en fait, un ennemi. 
Qui vous tisse des cordes de chanvre ! C’est gratuit.
Vous indique les chemins « à éviter ». Les mal empierrés
Sentes piégeuses aux mille trous pour vous y pousser.

Il est un remède connu des trolls, des fées magiciennes
Le philtre "pétales de roses rouges" marc à l’ancienne.
De ces belles fleurs rubis, symbole de l’Amour 
Ce beau et pur sentiment, doux comme velours.

Aussi si, je trouve un Cœur pour m'assouvir de cette liqueur
Guérir de l’Ennui détestable maladie, je serai le vainqueur.
L'Amour dont on a tant envie, aura raison des abattements
De l'importune atonie dans mon âme en dérangement

Robert, 
7/03/15 à Neupré.

 

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