Ah comme j'aurai aimé être votre fille,
car alors je vous aurais sauté au cou,
vous aurais embrassé avec une
infinie tendresse fort souvent .....
Là, je ne le peux pas ;
c'est à la fois le plus grand chagrin
et la plus grande joie de toute mon existence ;
mes poèmes de moi à vous sont des baisers permis ;
c'est le seul et indestructible attachement
à l'égard d'un homme dont je sois capable.
Il y a des baisers qui s'éternisent,
qui nous maintiennent
en vie tout le temps.
Alors je vous écris,
je m'autorise à vous aimer ainsi.
NINA
Commentaires