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Et un 6ème pour la route!

Et un 6ème accouchement: mon premier essai sociologique vient de paraitre: http://www.edilivre.com/les-sous-teckels-virginie-vanos.html
En ce moment, il n'est disponible que via le site d'Edilivre, mais début septembre, j'aurais mon propre stock d'exemplaires.
En espérant que mes réflexions acidulées vous fassent sourire, bondir, réfléchir.... ou entreprendre une mini-révolution personnelle!

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Commentaires

  • Je viens de lire l'extrait que vous présentez de votre dernier livre "Les Sous-teckels". Bigre oui ! voilà enfin quelqu'un d'intempestif, qui a du caractère et n'a pas peur de montrer sa différence. Vos beaux portraits avec leurs titres "Poor dol", "Lost bride", "Carrément méchante"... le laissaient bien présager, mais ici, c'est comme si vous preniez le taureau par les cornes. Au lieu d'en faire une critique pour en distribuer les ombres et les lumières (ce qui supposerait d'avoir lu le livre en entier), je vais donc en faire un bref commentaire, cette forme archaïque qui ne s'intéresse qu'à la force d'un texte ou d'une image bénéficiant en quelque sorte d'un préjugé positif.

    Votre analyse des ST me rappelle furieusement les hommes de Mahagonny dont Bertolt Brecht a fait une troupe de pantins qui ne pouvait réagir qu'après avoir eu le sentiment courageux d'être une masse compacte. Mais je pense surtout à Baudelaire "perdu dans ce vilain monde" et "coudoyé par les foules". De toutes les expériences qui ont fait de sa vie ce qu'elle fut, la bassesse de la foule fut peut être la plus décisive. Expérience douloureuse qu'il a finalement élevée au rang d'une sagesse, et qui montre le prix qu'il lui fallut payer pour accéder à la sensation de la modernité. Quoi qu'il en soit, notre monde de villes est un champ de bataille où nous sommes brièvement de passage. Et la vie y est immensément simple quand on en vient à se demander dans quelle mesure ce monde de pantins ne mérite pas les destructions et les tortures qu'il s'impose.

    Daniel Moline

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