J’imagine une Princesse à délivrer au haut de cette sinistre tour.
Je me battrais durement pour la sortir des griffes d’un affreux monstre. Et elle me sauterait au cou pour l’éternité d’un brûlant amour.
Mais il n’y a plus que si peu de Princesses, et elles s’en sortent très bien d’elles-mêmes maintenant.
Les preux Chevaliers sont désoeuvrés.
C’était le bon temps.
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