«Ah! que la vie est quotidienne!»
On la regarde aller son train,
Elle suit le même chemin,
Sur la voie qui seule est la sienne.
On la regarde aller son train,
Sans que rien de nouveau n’advienne,
Sur la voie qui seule est la sienne.
Les roues ronronnent un refrain.
Sans que rien de nouveau n’advienne,
On peut conserver son entrain.
Les roues ronronnent un refrain,
Faudrait-il que l’on se souvienne?
On peut conserver son entrain,
Au cours des saisons qui reviennent.
Faudrait-il que l’on se souvienne,
Dans l’attente des lendemains?
30 novembre 2011
Commentaires
Chère Rosyline
Je vous remercie pour vos aimables messages.
J’ai écrit pour des enfants de sept à treize ans des poèmes qu’ils ont appréciés et illustrés
d’une façon charmante. Certains se trouvent sur mon blog. Je vous invite à vous y rendre accompagnée de la petite Marie. Je crois qu’elle aimera sa visite au coin des comptines
et dessins d’enfants. L’adresse est: suzanne.walther-siksou.over-blog.com
Je vous souhaite, à toutes deux, une heureuse fin de journée.
Suzanne