Je vais vous la décrire
Mais il ne faudra lui dire
En cette belle matinée de printemps
Elle est dansante, au bord de l’étang
Puis elle fait une pause
Pour que son corps repose
Elle défait ses longs cheveux
A la tresse fermée par un nœud
Doucement elle quitte son corsage
Libérant deux petits seins bien sages
A mon pauvre cœur en naufrage
Mais par la beauté ébloui reste sage
Sa jupe bien courte, glissante
Aux pieds de ses longues jambes
Me laisse découvrir, l’harmonie
De ses formes bien définies
Elle se refait beauté dansante
Heureuse, rien ne la tourmente
Elle est femme moderne
Son oasis nue à l’épiderme
Elle me regarde et me sourit
M’invite à la nudité aussi
Mais devant la beauté, de femme qui ondule
L’homme nu, a l’air bien ridicule
Dans un éclat de rire sonore
Elle jette à l’étang son corps
Me laissant rêveur contemplatif
A la beauté du cops de femme admiratif
Loïc
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