Alors qu'approche l'ultime souffle du cycle d'un temps,
Qui coule et souffle à petits vents,
Temps que j'ai vécu, à profondes saveurs,
Cherchant, un peu d'amour sous ardeurs.
J'aurais bu, à gouleyantes gorgées
Vins, vinasses et élixirs de la vie.
J'aurais goûté à grosses gobées,
Moult plaisirs, volés aux filles.
Consommant le temps,
Goûtant les instants.
J'ai avalé la vie, comme liqueur bachique.
Un jus de treille, aristocratique
Qui a prit peine, le temps vécut,
De celer jouissances au fut,
Pour donner les dives bouteilles
Contenants, aux contenus vermeilles
Que l'on ouvre...
Que l'on ouvre,
Pour faire les amants,
Pour en mieux rire et puis chanter
Oublier, que fuit le temps,
Ne pas voir, la rose se faner.
Réaliser, enfin, l'âme calme et repue
Que la fin de son temps, est venue
Qui coule et souffle à petits vents,
Temps que j'ai vécu, à profondes saveurs,
Cherchant, un peu d'amour sous ardeurs.
J'aurais bu, à gouleyantes gorgées
Vins, vinasses et élixirs de la vie.
J'aurais goûté à grosses gobées,
Moult plaisirs, volés aux filles.
Consommant le temps,
Goûtant les instants.
J'ai avalé la vie, comme liqueur bachique.
Un jus de treille, aristocratique
Qui a prit peine, le temps vécut,
De celer jouissances au fut,
Pour donner les dives bouteilles
Contenants, aux contenus vermeilles
Que l'on ouvre...
Que l'on ouvre,
Pour faire les amants,
Pour en mieux rire et puis chanter
Oublier, que fuit le temps,
Ne pas voir, la rose se faner.
Réaliser, enfin, l'âme calme et repue
Que la fin de son temps, est venue
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