Les beaux mois de l’été, le temps pour des vacances.
Des cartes en couleurs, figeant des lieux lointains,
m’invitent au voyage, je les reçois émue.
Je pense à ce bateau qui partait pour la France,
je le voyais glisser lentement sur l’eau bleue
et s’éloigner de moi. C’était début juillet.
Je le suivis des yeux, aussi loin que je pus.
et quand il disparut, un pressentiment vague
m’avertit que, peut- être, il ne reviendrait plus.
26/7/91
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