"
Sur la fin d'une saison
Le corps dans son ensemble
Cherche une péroraison
Sans plus d'autres mots que d'horizon
Il s’assoit étriqué
Et il échoit crédité, accrédité
Qu'aucune minute de plus fera son éternité
Parce que replié il lui reste plus que la nudité
Alors la virtualité de son existence
Plane dans ce cube ridicule d'ignorance
Que de paraître les yeux illuminés de seins en potence
Parce qu'une fois de plus la masturbation d'une impudence
Laisse ignorer que les vies combattent sans prudence
La vue s'échappe entre l'idée de Prométhée
Où toute une vitalité s'épuise, sans unité
A croire que la science fiction des Titans
Ouvrira la liberté des signes d'Echylle, écrivant
L'absence d'une pensée et consumée à jamais
"
24/11/2013
Écriture prompte ©
Eric DELACROIX.
Commentaires