Figurez-vous que le Candide de Voltaire a atterri sur ce réseau par le moyen de mystérieuses effluves informatiques. J'ai toujours eu plaisir de revenir à cette oeuvre que je ne pouvais vraiment pas résister au plaisir de l'inclure dans un petit billet de blogue. Je ne vous blâmerai si vous qualifiez ma démarche comme étant Candide et optimiste.
Il y avait en Vestphalie, dans le château de monsieur le baron de Thunder-ten-tronckh... [...]...
Candide écoutait attentivement, et croyait innocemment ; car il trouvait mademoiselle Cunégonde extrêmement belle, quoiqu’il ne prît jamais la hardiesse de le lui dire...
Avouerais-je que cette remarque de Voltaire me rappelle furieusement ce que j'étais à l'âge dit ingrat? Soit-dit, en passant, j'en ai connu de bien délicieuses, des Cunégondes.
147 pages... pour le plaisir
Commentaires
Nous ensignons cette oeuvre aux terminales chez nous, l'occasion pour les enseignants de faire connaître les principes de la philosophie et du siècle des lumières et de sensibiliser à la lutte contre l'obscurantisme, l'ignorance, l'intolérance et tout le reste. Une oeuvre où j'adore m'étaler!