Toujours de nouveaux chants se compose le monde
Tu es la chambre seule et noire dans la nuit
Le papier que tu griffes la lueur du jour
A peine rutilant au lointain pur de l'ombre
Autour de toi au loin passent les avions
Les bateaux les autos les espoirs et les rêves
Les humains à tout faire à tout vivre s'ébrouent
Et tu les suis de loin calme vie isolée
Tu feras le chemin inverse des araignes
Détissant de ta toile une absence de règne
Vers ton futur sanglé de divine harmonie
Point du jour Le matin - Une paix infinie
Berce tes yeux meurtris de veille et de sanie
Les rayons du soleil sont des bras qui s'étreignent
Commentaires
Adyne, Michel, merci de vos commentaires!
Très beau, mais le plus loin possible dans le temps!!
Adyne
Puissent venir les matins de paix.
Un grand merci Rosyline de ton commentaire!