Dans l'aube de l'enfance, insouciante et douce,
Nous dansions dans les prés, ignorant le poids des choses.
Mais le monde est devenu cruel, lourd fardeau,
Chaque pas devient peine, chaque rêve, écho.
La société, glaciale, nous broie sans pitié,
Chacun pour soi, le cœur las, l'âme effarée.
L'argent règne en tyran, écrasant nos vœux,
Et nos ambitions, brisées, s'envolent vers les cieux.
Dans le fracas des guerres, le ciel gronde,
Les avions, oiseaux de malheur, répandent la fronde.
Nos désirs, flambeaux de misère et de douleur,
Nous conduisent à l'abîme, loin du bonheur.
Regrets amers, regrets sans fin,
Dans ce monde où le destin s'acharne en vain.
Mais malgré tout, gardons espoir, gardons foi,
Qu'un jour, la paix viendra, enfin, sur notre toit.
GCM-27/04/2024
Ecrit avec l'aide de l'IA