Bonjour,Je suis Chahreddine Berriah, le journaliste algérien d'El Watan.Je souhaiterais retrouver les gens que j'ai rencontré en décembre 2008 à Montpelliers, lors du congré inter culturel, organisé par FAnny Didiot-Abadi.merci
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Publié(e) par Robert Paul le 16 juillet 2009 à 10:15
Après la Seconde Guerre mondiale, la vie littéraire belge connaît une phase d’effervescence remarquable. De nombreuses revues littéraires émergent, l’esthétique néoclassique gagne les différents genres littéraires, de jeunes dramaturges s’illustrent en Belgique et à l’étranger, plusieurs écrivains remportent des prix prestigieux en France, les poètes sont plus actifs que jamais… De leur côté, les pouvoirs publics mettent sur pied un système de subventionnement des arts et des lettres, qui repose notamment sur la création du Théâtre national et du Fonds national de la littérature.
Malgré cette vitalité, la période reste méconnue. Dans cet ouvrage, qui est le premier sur le sujet, Bibiane Fréché étudie les écrivains et leurs œuvres, mais aussi les relations que les auteurs entretiennent avec les institutions littéraires, les pouvoirs publics et avec la société en général. Se dessinent alors des réseaux interpersonnels passionnants, qui donnent toute leur dimension aux choix littéraires de l’époque.
Docteur en Philosophie et Lettres de l’Université libre de Bruxelles, Bibiane Fréché est chargée de recherches du FNRS. Elle s’intéresse à la littérature belge, ainsi qu’aux relations entre les mondes littéraires francophone et anglo-saxon. Elle a enseigné à l’Université Castilla-La Mancha en Espagne, ainsi qu’à l’Université d’Oxford.
Paru aux éditions Le Cri, rue Victor Greyson, 1 - 1050 Bruxelles
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Publié(e) par Robert Paul le 14 juillet 2009 à 4:39
"C’est un jour de dédicace. Des gens patientent. Une file. Une femme glisse un livre sous leurs yeux. Ils l’ouvrent à la page blanche. Leurs mains touchent le papier. Impression renouvelée de caresser ta peau. Ils n’ont jamais écrit que par toi, les écrivains.
L’amour de notre amour, tu n’en parlais à personne. Les femmes choient leurs secrets comme leurs enfants. Leurs silences restent toujours des mots d’amour. Leur amour de l’amour, les écrivains, ils le jetaient à l’encre des imprimantes et des rotatives. Incapables d’autre chose, ils devaient rapporter à tous vents les cadeaux d’exister accordés par tes mains, tes yeux.
Ils signent : « Pour Alice, ces mots écrits à l’encre de la lumière, à l’encre de la vie. » D’un trait d’encre mauve, ils tracent un semblant de paysage. Ils déposent trois étoiles. La femme remercie. Elle offre aimer leurs livres, s’y retrouver, y pleurer, y vivre. C’est à toi que ces mots s’adressaient. Ils ne furent que l’outil entre tes innombrables éclats et la lumière. Ils n’ont qu’agencé tes brillances, les écrivains. Plagié ton souffle."
B. C.
Editions Biliki
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QUATRIEME DE COUVERTURE :Métissage Ni tout blanc, ni tout noir raconte le vrai parcours initiatique d’une petite fille qui lutte pour vivre, survivre et devenir. Mais devenir quoi ?L’auteure y brosse le portrait d’une famille peu ordinaire, la sienne. On y trouve un papa noir, congolais, chanteur, joueur de foot au Standard de Liège et un peu sorcier, une maman blanche, belge, qui s’en va puis qui revient avec un crocodile empaillé, une peau de zèbre, un pied d’éléphant et des amants, une grand-mère blanche aux seins-coussins qui se transforme en dinosaure cracheur de feu, une grand-mère noire qu’elle n’a pas connue mais qui lui a légué une marque de fabrique, un grand-père blanc canonisé et amateur de pekêt et un grand-père noir « évolué », polyglotte et constructeur de cathédrale. Au milieu d’eux, il y a Salomé, ni blanche, ni noire mais un peu blanche et un peu noire.Il est 0 heure sur l’horloge de ma vie.J’arrive, comme une lettre à la poste.- Félicitations, c’est une fille, crie une voix que je ne reconnais pas.Papa pleure. L’émotion ? La couleur de ma peau ? L’annonce du sexe ?Moi aussi je pleure. La laideur de l’endroit ? Les grosses mains froides qui me secouent ? Un karma douloureux ?Une écriture pleine de fraîcheur, d’humour, de tendresse, de gravité et de candeur. On pleure. On rit. On est ému. On grandit.CE QU’ILS EN DISENT :« Tout incite à la lecture, cette découverte des autres par les mots : le style, l’histoire, les mots, l’émotion, la vérité… En découvrant ce récit de Salomé Mulongo, le bonheur de lire ne m’a pas quitté une seconde, c'est-à-dire pas l’espace d’un mot ou d’une phrase. Je ne peux mieux dire ou décrire la révélation d’un nouveau talent !... » Jacques Mercier. Extrait de la préface.« J'ai dévoré votre manuscrit hier en TGV, très agréable, tendre et parfois drôle, comme je les aime... Merci Salomé », Adrien Joveneau« Belge et métisse de 45 ans, l’auteur est riche de toutes ces couleurs qui l’ont peinte… Son écriture est aussi colorée, vive et alerte pour conter ses tranches de vie… en couleur. » Philippe Jacqmin, Télépro du 19/02/09« De Colette, elle a la grâce de l’écriture, le charme acidulé et les cheveux frisés [...] Dès les premières pages, le charme opère. Celui d’une langue parfaitement maîtrisée qui décrit les petits bonheurs d’une fillette née d’une mère liégeoise et d’un papa noir [… ] […]Une prose qui flirte à tout moment avec la poésie… » Jacques Braibant, Vers l’Avenir Brabant Wallon du 02/03/09« Un récit souvent drôle, où l’auteur compte les années pour des heures et la vie pour une journée de plus de vingt-quatre heure […]. Ce livre n’est pas un roman et déroutera les amateurs de ˝ littérature ˝. Il porte en lui un roman, sans doute. Et il intéressera ceux qui, gros d’une histoire personnelle, hésitent aux marges de la page blanche. Car le bonheur de Salomé devenue écrivain est la conclusion sensible de ce récit » Vincent Engel, Coup de cœur, Supplément Victoire du Soir du 25/04/06INFOS :« Métissage, ni tout blanc, ni tout noir », roman autobiographique, Editions Traces de Vie, février 2009 . Préface de Jacques Mercier, 115 pages, ISBN 978-2-930452-12-8.
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Publié(e) par Robert Paul le 9 juillet 2009 à 8:58
Silvia CERULLI, diplômée de la Scuola superiore di Lingue moderne per Interpreti e
traduttori (Università degli studi di Trieste), vient de présenter
dans le cadre des « Tesi di Laurea in Traduzione » la traduction en italien
du roman d' Adolphe Nysenholc "Bubelè l’enfant à l’ombre" (L'Harmattan, 2007).
On peut franchement se réjouir que cette oeuvre si poignante ait trouvé là une nouvelle résonance qui multiplie son audience méritée.
Adolphe Nysenholc, spécialiste mondialement reconnu de Charlie Chaplin, de André Delvaux, avait signé avec ce roman un récit autobiographique et emblématique sur sa propre histoire d'enfant caché en 1942.
Extraits
"J'étais là, dans le tram, avec ma mère. Je l'avais pour moi tout seul. Elle me souriait pour ne pas laisser paraître sa détresse. J'avais trois ans, l'âge le plus « adorable», selon elle. Je ne savais pas où on allait. Elle avait pris pour moi un aller simple. Je sursautai au cri de « Terminus ! » Nous étions arrivés. C'était la campagne. On était en août 42. Un bel été. L'été de la traque, où l'on avait cherché pour moi une cache."
...
"Après un tournant, mon ombre n'était plus à côté de moi, je la vis derrière. Elle m'avait pris en traître. Je ne parvenais pas à la décoller de mes talons. Elle ne m'empêchait pas de lever le pied. Mais si légère, elle ne s'envolait pas. Je poussai un cri : ma mère était poursuivie par une même noirceur."
...
"Délaissé, j'ai regardé longtemps par la fenêtre. J'étais tenu de taire qui j'étais et d'où je venais. Enfant caché, je cachais quelqu'un en moi. Je ne pouvais pas me vivre moi-même, car je ne pouvais pas vivre tout court. Être moi était mortel."
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Papa s’appelait Jef, diminutif de Jozef en flamand. Lui non plus ne voulait pas être Témoin deJéhovah ni de quoi ou qui que ce fût et, surtout pas d’un accident car il estimait également ne pas avoir letemps, comme maman. C’est tout ce qu’ils avaient en commun !Devant le lit de mort de son père, il avait juré sur la tête de sa mère qu’il n’avait jamais connue, qu’il neprononcerait jamais un seul mot de français. Et il ne pouvait trahir sa parole. En effet, il avait échangé sonlit avec celui du père décédé et craignait que l’âme du défunt ne lui fît passer de mauvaises nuits en cas detrahison de la parole donnée. Certaines personnes affirment en effet que l’âme des morts intègre l’objetqu’ils préféraient lors de leur séjour sur terre. Et gare à l’esprit de vengeance ! Le lit ayant été l’objetpréféré de son père…Lorsqu’il avait encore l’impression d’être riche, jeune et beau, le papa de Jef, mon grand-père, futcambriolé par des malfrats qu’il supposa appartenir à la gente francophone. En effet, lors du procès, cesgens s’exprimèrent dans une langue qui n’était pas le néerlandais. Dans sa logique, cette langue ne pouvaitdonc être que le français !Dès lors, il s’affilia au VMO (Vlaamse Militanten Orde), un club néerlandophone en mal d’activitésculturelles qui avait choisi de combattre la francisation de la Flandre pour instaurer un nouvelordre flamand dans leur région. Comprenne qui pourra ! Les femmes et les enfants d’abord !Jef croyait que le combat du père était le bon, mais n’aurait pu en donner la raison. Certainement parcequ’il avait une confiance aveugle en lui, c’était naturellement un sentiment familial. Il ne comprenaitrien à cette histoire compliquée mais supposait que la cause était juste du fait qu’elle avait été adoptée par denombreux flamands de son âge, même ceux dont les parents n’avaient jamais été cambriolés par desfrancophones !Lire la suite...
La série de tableaux interprétant la mort de notre monde en le transformant en désert devait rejoindre la renaissance représentée sous forme d’œufs.J’avais en effet mis la charrue avant les bœufs en créant la renaissance avant la mort qui devait nécessairement la précéder ! La mort et le renouveau, rythme de la vie qui mène la danse de l’éternel recommencement ! Envol et réincarnation via l’œuf !Je terminais l’étang qui avait résisté à la sécheresse quasi générale de ce monde. L’eau, symbole de la vie. Elle précédait l’œuf, dans mon esprit. A quoi servirait donc la naissance d’une vie physique en l’absence d’eau ?J’avais clôturé symboliquement encore cet endroit sacré, le séparant du néant apparent de la mort.Quelques heures auparavant, j’avais nettoyé la palette sur laquelle avaient séché les mélanges de couleur abandonnés lâchement. J’avais gratté sa surface à l’aide de la petite truelle et terminai mon nettoyage avec un coton imbibé de térébenthine.Après un séchage rapide, j’avais pressé les tubes de peinture nécessaire à la réalisation de mon interprétation. J’y ai mis une once de bleu outremer, une petite pointe de noir ivoire, un peu de terre de Sienne et énormément de blanc de zinc.Avant de m’installer devant le chevalet, je pris la décision qui m’était habituelle de placer un disque dans l’appareil de lecture. J’avais choisi d’écouter « Excalibur » de Vangelis.Je puisais une partie de mon inspiration dans la musique. Je choisissais un morceau qui correspondait à la nécessité de l’instant sans qu’un effort de réflexion ne me fût indispensable. Le choix d’écouter une interprétation musicale se faisait automatiquement. Le morceau correspondait à la nécessité du moment sans que je dusse faire une corrélation. Mon effort ne consistait qu’à laisser tomber ma main sur le disque qui serait l’élu pour assurer la bonne marche de l’évènement qui allait prendre cours.J’avais pris l’habitude d’écouter des musiciens tels Mike Oldfield, Pink Floyd et Vangelis pour stimuler mes séances de peinture.Il m’est difficile, voire impossible, de peindre ou d’écrire dans une atmosphère de calme domestique. Cela n’est pas valable en ce qui concerne le calme extérieur de la nature qui est un calme serein, élément indispensable pour l’épanouissement. Le silence, les bruits du silence d’une maison, sont déprimants par leur monotonie et leur effort inutile d’illustration de notre existence qui, sans les piaillements de la nature, est morne et obstacle à toute forme d’expression créative.La musique que j’écoute lors de mes réalisations expressives me caresse l’oreille et masse mon cœur en faussant l’atmosphère pour favoriser l’interprétation picturale de ce que m’apportent mes yeux et mon âme.D’emblée, les percussions déchirèrent cruellement l’ambiance détestable qu’avait créée l’atmosphère domestique.de la pièce que j’occupais, entraînant derrière elles les charmes puissants des chants d’Excalibur.La séance était ouverte. L’expression avait le champ libre.Faisais-je de l’art ? Il m’est difficile, voire impossible, de qualifier mon travail comme tel. D’aucuns ont clôturé l’art dans des définitions bien arrêtées, dans une enceinte, un clos, entouré d’un haut mur épais en dehors duquel aucune autre forme de travail que l’académique n’y trouve sa place. Il ne peut y être inclus les formes d’expression populaire que la plupart dégage avec un désintérêt financier que n’ont pas la plupart des « académiciens » vils et vaniteux après une reconnaissance qui déracine et tue leur véracité.Il ne m’appartient pas de juger l’appartenance d’une activité au domaine du travail artistique, d’autant plus que ce domaine doit comporter des critères définis par l’élite autoproclamée qui l’étend quotidiennement selon ses souhaits ou selon les connaissances de ce qu’elle croit être le goût de la plupart desdits non initiés.Je n’aurais d’ailleurs pas la prétention de pouvoir baliser ces travaux sensuels en excluant les autres. Je crois que, dans le hit parade de l'absurdité, cette pratique est celle qui ferait le sujet qui tiendrait la première place le plus longtemps !En conclusion, s’il en était besoin, mon ignorance m’obligerait de classer mes activités dans les travaux d’expression personnelle et dans ce que je qualifierais d’interprétation de sentiments, sans préjuger de son niveau. En outre, entre nous, ce qui est considéré comme artistique par une civilisation peut très bien ne pas l’être par une autre !Après cette réflexion de mise au point pour me motiver, je pouvais commencer.Je pris ma truelle et préparai le premier petit mélange à base de bleu outremer destiné à couvrir la surface de l’étang qui, depuis bien trop longtemps, était restée béante, dans l’attente d’une surface réfléchissante dans laquelle on lirait la tristesse de la lune.En mixant ma pâte, je pensais à la chance qui m’était donnée de me trouver là, debout devant mon chevalet et d’avoir la possibilité de m’exprimer librement sur une toile. Geste politique car libérateur !Aucune contrainte ne me dévie de mon but ni ne barre mon chemin. Privilège de l’existence. Je savoure la liberté, ma liberté, comme on savoure un fruit, en sachant que l’on en arrivera au bout, mais sans m’en préoccuper le moins du monde.Se poser sur une toile, imprimer, immortaliser ses pensées, ses rêves, ses visions. Figer un sentiment, un moment de son existence, marquer l’histoire d’une empreinte, si petite soit-elle et pouvoir se dire que l’on a existé, que l’on n’a pas toujours été absent de la marche physique d’un univers qui semble ignorer notre présence la plupart du temps/Je peins, j’écris, je crée. Donc je pense exister ! J’existe, au moins pour moi !
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Publié(e) par Robert Paul le 5 juillet 2009 à 5:00
Henry van de Velde entretient ses Collègues de l'Académie libre Edmond Picard de la formation poétique de Max Elskamp et d'une amitié de plus de 50 ans (15 juin 1933) ici: Hommage de Henry van de Velde.doc
Publié(e) par Robert Paul le 3 juillet 2009 à 5:33
À la prochaine rentrée académique, l’ULB accueillera, pour leurs cours théoriques, les quatre cents étudiants en première année de sa future faculté d’architecture sur le site du Solbosch.
Cette nouvelle faculté, la première du genre en Belgique, résultera du rapprochement des deux instituts d’architecture La Cambre et Horta et du processus d’intégration de l’enseignement de l’architecture au sein des universités de la Communauté française.
Ce regroupement va permettre d’offrir un encadrement exceptionnel par rapport à celui des plus grandes écoles d’architecture européennes. À terme, la faculté rassemblera un millier d’étudiants.
détails sur:
http://www.ulb.ac.be/facs/architecture/index.html
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Publié(e) par Robert Paul le 3 juillet 2009 à 5:24
Le Bureau du Collège Belgique lance un 2e appel à propositions de cours-conférences, en vue de poursuivre l'offre faite à toutes et tous de participer à cette nouvelle communication du savoir, qui met l'accent sur tous les domaines de la connaissance et de la création artistique.
Concrètement, chaque cours-conférence du Collège Belgique s'étendra sur une durée comprise entre 2 et 6 heures, partagée en 1 à 3 leçons données à Bruxelles et à Namur. Chaque cours-conférence devra être présidé par un responsable académique, membre de l'une des trois académies participantes et le titulaire du cours pourra s'adjoindre des collaborateurs belges ou étrangers.
En pratique: Les candidatures devront être envoyées à collegebelgique@cfwb.be pour le 20 septembre à minuit au plus tard. Infos et formulaires à télécharger sur http://www.academieroyale.be
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Publié(e) par Robert Paul le 3 juillet 2009 à 4:57
James Ensor (1860-1949) fut une figure majeure de l’avant-garde belge de la fin du XIXe siècle et précurseur du mouvement expressionniste, James Ensor fut un artiste engagé et auto-critique.
Au Musée Royal des Beaux-Arts d'Anvers, les tableaux La mangeuse d'huîtres, les intérieurs bourgeois, marines et études de la période réaliste des débuts d'Ensor, Adam et Ève, Les Anges rebelles, L'étonnement du masque Wouse, Squelettes se disputant, L'homme de douleurs et la plus belle composition de masques d'Ensor, L'intrigue, sont exposés dans deux salles. Nulle part au monde ne sont exposées en permanence autant d'oeuvres d'Ensor.
Pourtant, ceci est loin de constituer la totalité de la collection Ensor du musée. Seize autres tableaux et plus de cinq cents dessins ne sont montrés qu'au cours de présentations temporaires, dans le musée et dans les institutions-soeurs de Belgique et de l'étranger.
Cet ouvrage se veut un panorama de l'entière collection de tableaux, enrichi d'un choix représentatif de la collection de dessins, afin que le lecteur puisse prendre connaissance de la plénitude du trajet artistique qu'Ensor a accompli en plus de cinquante ans.
Editeur : BAI - ISBN-EAN13 : 9789085864691
Une déclaration de James Ensor est à écouter sur le page principale du RéseauLire la suite...
Publié(e) par Robert Paul le 3 juillet 2009 à 3:59
Bonne parution belge Aux Editions Hazan
Cet ouvrage, rassemble chronologiquement l’ensemble des œuvres exposées dans les trois niveaux du musée : la conquête du surréalisme (1898-1929), l’échappée belle (1930-1950), mystère à l’ouvrage (1951-1967).
Chaque niveau aborde thématiquement l’œuvre de Magritte dans toutes ses composantes, peintures, œuvres sur papier, photographies, sculptures.
Tout au long de l’ouvrage, ces œuvres exposées seront associées à des éléments biographiques ou contextuels qui par leur articulation et leurs commentaires, forment au total une monographie vivante en même temps qu’une introduction essentielle à l’art de Magritte et du surréalisme belge.
ISBN-EAN13 : 9782754103541
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