La fin pour aujourd'hui, j'espère avoir garder la fraîcheur du produit..
moisson 150x120 acry sans marouflage
Garder l'intuition du début, ne pas s'attarder, moissonner vite avant l'arrivée de la pluie.
La fin pour aujourd'hui, j'espère avoir garder la fraîcheur du produit..
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Garder l'intuition du début, ne pas s'attarder, moissonner vite avant l'arrivée de la pluie.
Je pensais à Vincent Van Gogh, à ses jaunes éclatants, Jaunes de chrome, jaune de moisson, de tournesol. Le jaune comme un cri de vie, de soleil sur les
1er état de Flo moisson 150x120 acry sans marouflage
blés.
Flo se roule dans les blés murs, Flo veut vivre, elle sera canicule, fille de l'Ukraine, fille de feu..
2ème état Flo et moisson
La galerie Catherine Putman, éditeur français de Georg Baselitz depuis 1997, dévoile « Big Night », une série inédite de 6 xylographies éditées chacune à 6 variations.
Lors de sa première exposition personnelle en 1963 à la galerie Werner & Katz à Berlin, Baselitz provoque un scandale et certaines de ses toiles sont confisquées pour indécence. Parmi elles, « Die Grosse Nacht im Eimer » (« The Big Night Down The Drain ») aujourd’hui conservée au Musée Ludwig de Cologne, portrait scabreux d’un garçon difforme pratiquant l’autoérotisme, identifié parfois comme Hitler, parfois comme le poète irlandais Brendan Behan.
De cette image libidineuse et outrageuse, Baselitz a tiré les gravures sur bois de la série « Big Night » présentées à l’occasion de l’exposition. En effet, il travaille depuis 2005 à ce qu’il appelle ses « Remix » : des relectures de ses œuvres de jeunesse, où il remet parfois en cause l’inversion de la figure qui caractérise son travail depuis 1969.
Véritable peintre-graveur, Georg Baselitz affirme sa volonté de conserver à la gravure sa pleine autonomie face à la peinture, la gravure en étant pour lui « une analyse complémentaire ». L’artiste déclare à ce propos lors d’un entretien avec Rainer M. Mason : « J’ai fait des xylographies quand je ressentais la nécessité de donner une forme définitive à un tableau » .
Il aime affronter physiquement les matériaux, et sa préférence pour l’eau-forte et la gravure sur bois n’est pas sans rapport avec son travail de sculpteur. Dans ces « Big Night », certaines parties sont l’objet de rabotages, de taillades. Les personnages surgissent de l’arrière-plan sombre grâce aux couleurs éclatantes de l’aquarelle que l’artiste a appliquée sur le papier avant la gravure. Thème et matériau expriment chacun l’idée ambivalente de la destruction face à la création.
Quelques aquarelles et une sélection de bois gravés d’autres « Remix » accompagneront cette présentation.
* Hans Georg Kern est né le 23 janvier 1938 à Deutschbaselitz en Saxe, près de Dresde. En 1956, il est renvoyé de l’Ecole des Beaux-Arts de Berlin-Est pour « manque de maturité socio-politique ». Il se rend alors à Berlin-Ouest. En 1961, il prend le nom de Baselitz, emprunté à son village natal. Il vit et travaille à Munich.
Vernissage le 04/09/2010, de 14 à 20 heures
Galerie Catherine Putman
40 rue Quincampoix
75004 Paris
Du 4 deptembre au 23 octobre 2010
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Le très renommé restaurant le Yen à Ixelles a ouvert sa mezzanine à l’Art dès le mois de septembre 2010 pour sa rentrée culturelle et cela d’une manière permanente.
En effet s’est formé un partenariat artistique avec l’Espace Art Gallery rue Lesbroussart, 35 à 1050 Bruxelles. Pour cette première de l’Espace Yen une grande exposition sur la collection « Espace Art Gallery II » sera présentée aux clients du restaurant.
Ce nouvel Espace d’exposition réunit avec subtilité l’Art de la table et les Arts plastiques.
Le Yen est l’un des restaurants vietnamiens les plus délicats de Bruxelles. Les mets raffinés sont proposés par Mme Nguyen Thi Thu Hong, formée dans les plus grands hôtels de Saïgon.
La « rose de Chine » (chaussons de pâte de haricots fourrés, cuits à la vapeur), le « bœuf dans la flamme sacrée » (flambé à la citronnelle et aux arachides), le « régal du mandarin » (canard grillé à la sauce de prune), le « diamant de Saïgon » (porc en chapelure aigre-doux, poireaux et ananas) et de multiples autres spécialités, dont plusieurs plats végétariens, vous sont proposées dans un cadre alliant les matériaux bruts (béton et acier) avec des patines chaleureuses et des couleurs tendres, imposant une atmosphère paisible propice à la dégustation de mets raffinés.
Luxe suprême, le Yen vous offre de la place. Vous ne serez pas comprimé contre votre voisin et pourrez pleinement vous consacrer aux plaisirs de la table, seul ou accompagné : amateurs de saveurs naturelles fines et délicates, soyez les bienvenus.
Le restaurant Yen est situé rue Lesbroussart, 49 à 1050 Bruxelles. La mezzanine est ouverte aux heures d’ouvertures du restaurant : de 12 h à 14 h 30 et de 19 h à 22 h 30.
Plus Infos : Tel : 02/649.95.89. Fermeture le dimanche et samedi midi.
Invitation à toures et tous à cette exposition dans le cadre du village de Celles - Lez - Dinant ( Houyet )
Dinant Namur
Mon ami l'Albatros
(Magritte en illustration...)
Lorsque le soir descend, et que dans le couchant
l'Albatros prend son vol,
J'aimerais quitter le sol.
Que de ports, de navires, je pourrais découvrir
sous son aile abritée,
Que de mers je verrais, survolant les nuées,
De la magie de l'horizon je pourrais me griser.
L'écume, le ciel, dis, seraient mon paradis
L'Albatros, attends-moi,
Avec toi, emmène moi,
délivre -moi enfin de ces chaînes,
de ma faim,
Cette faim d'autres pays,
où le ciel n'est pas gris,
où la mer de corail
ne livre pas bataille.
Deviens mon seul ami
Et qu'avec toi j'oublie
Cette contrée si hostile
Où tout n'est plus qu'exil
Où je deviens peu à peu le paria
D'un monde que je ne reconnais pas.
Fais miroiter pour moi
Les trésors et les soies,
L'Orient et ses parfums,
Le grand froid sybérien.
Entr'ouvre moi les îles
et leurs secrets subtils,
Voguons de ports en ports
Ensemble fuyons la mort.
Fais-moi enfin renaître,
Ouvre moi ces fenêtres
sur un monde meilleur
où tout n'est que splendeur.
Et puis recommençons,
nos coeurs à l'unisson,
à croire en un demain
où l'Amour ,n'est pas vain,
où la Vie a un prix
où les Enfants sont rois,
et où l'Homme a le choix
de vivre Libre et Heureux.
Et puis, rien que tous deux,
Volons si tu le veux
Vers une vaste grève
Là où l'aube se lève
sur des vagues d'argent
jusqu'à la nuit des temps...
Clo ( 1er Août 2010 )
Ce texte que je vous livre semble bien piètre
après lecture de ce qui suit,
mais qu'importe, j'ai osé m'exprimer...
ALBATROS...
En ailes l'albatros se déploie au vent
le regrets de mes ailes de ne savoir voler dans mes rêves refoulés.
Plongée vertigineuse,
Virage rasant parfaitement maîtrisé,
Ne plus être qu’un point dans l’immensité bleue,
Ces ailes m’emportent dans un voyage qui me coupe le souffle,
J’aime.
Pourquoi le spectacle de la mer est-il si infiniment et si éternellement agréable ?
Parce que la mer offre à la fois l'idée de l'immensité et du mouvement.
Six ou sept lieues représentent pour l'homme le rayon de l'infini.
Voilà un infini diminutif. Qu'importe, s'il suffit à suggérer l'idée
de l'infini total ? Douze ou quatorze lieues de liquide
en mouvement suffisent pour donner la
plus haute idée de beauté qui
soit offerte à l'homme sur
son habitacle transitoire.
C. Baudelaire
L'Esprit de la Mer...
2 ème page du carnet de voyage en Toscane avec le choc ressenti en découvrant au détour d'une rue la Piazza del campo à Sienne.
Choc visuel et choc auditif en même temps. Les chevaux vapeur avaient pris le pouvoir sur la ville. Moi qui pensait que les courses se limitaient aux "canassons" avec le célèbre compétition de l'été..
Aujourd'hui les 400 chevaux des Ferrari rugissent , les Lamborgini répondent, les vitrines vibrent, le cœur bat plus fort, l'Italie célèbre ses monstres sacrés en pétarade infernale..