Un Violon, pleure sa passion,
Devant un public mélomane,
Tout en désir de communion.
Sans sa belle, pertuisane
perçant, tranchant, coupant son coeur,
par son départ, dévastateur,
Elle mit le feu à leur amour.
Ignorant le coeur blessé, lourd
d'une peine qui tenaille,
L'homme, et l'instrument défaillent
Vois, l'archet péniblement se meut
Il raconte ainsi de l'amoureux
Déchiré, le désespoirs encourt.
Le soliste s'accorde au violon
Son instrument, son seul panthéon
Des larmes coulent de ses esses.
Alors, fait trois tours de valse,
Sur trois temps il va et valse,
Pour se sécher la joue caisse.
Son cœur a mal de troubadour,.
Plaintes; vibrati, crient au secours
Ce coeur perdu, joue les cordes.
Donnent vie aux notes, il délace
Son âme, qui se donne, accorte.
Module pour sa Dame, … Là, en blanc
Belle, pareille au cygne du lac, et sasse
Un air adamantin,...Du romantisme brillant
Pour lui alors, elle se met, à danser
A tourner, tourne, et tourne encore
Se magnifie offre son corps
Lestement, d’une belle retenue
Quand même, elle devient belle et nues
Aérienne, dans un ciel doré
L'Art d'une traduction gestuelle
Qui dit la vérité d’un chagrin,
Par l'acte posé, son repenti,
Geste acté, décrit sans alibi..
De la peine du petit, …fait de pin
Qu’on sait, doux en bois caramel
Le cygne vit, lucide, les notes,
Que le bel instrument Chuchote
Bémols, dièses, compris de tous !
Tous, qui murmurent en bel unisson,
Avec lui, l’émotion belle et douce
Voulant consoler, ils chanteront
Unis en un seul corps, lèveront,
Les mains, … ensemble, ils l’applaudiront
Valses, de vraies salves d’Odéon
Salves, de valses pures émotions
Commentaires
Merci Jacqueline. Je confirme ma constatation.
L'émotion et l'emportement rêvé sont au rendez-vous, félicitations Robert, que c'est beau.
Ais je donc de la chance, mes fans sont des femmes !
Quand on sait la sensibilité de ces Dames,
Les commentaires s'enrichissent de charmes.
Merci à vous mes amies, Mesdames.
Très admirative de ton,( tes) talent (s), Robert! C'est très beau!
Bravo!
Bonne journée.
Amitiés.
Adyne
Exacte, le tutu blanc de la poupée danseuse qui tourne et tourne et tourne encore pour le plaisir des yeux de "l'enfant"!
Je ne sais pourquoi, mais je me suis retrouvée devant la boîte à musique de jadis où tournait sans fin une ballerine. Comme un cygne blanc sur un miroir sans tain. Etrange fluidité des souvenirs.