Le poète admire l’oiseau
Qui ne s’attarde pas sur terre.
Lui, s’y promène solitaire,
Mettant ses émois en des mots.
Face à l’indicible beauté,
Une religieuse tendresse,
Se mêlant à son allégresse,
L’incite à vouloir la capter.
Protégée du bruit et du vent,
L’offrande de la poésie,
Dans un élan de foi saisie,
Conserve un attrait émouvant.
13 novembre 2007
Commentaires
..Conserve un attrait émouvant
Car lancée en paroles subtiles
Elle offre à l'âme un repos de l'instant
qui clame son entendement