La turbulence d'un cœur,
derrière un visage sage se cache,
guette l'orage de celui indécis pour lequel il se perd,
se vêt d'un pourpre pull-over, dont l'échancrure claire,
indifférent le laisse.
la turbulence d'un coeur,
dans un corps résonnant,
paré d'une laine blanche, se dissimule,
guette l'espérée indiscipline de celui si mutique,
pour lequel en vain il se dévêt, se perd.
Oh froid de neige,
sur la place du grand soleil,
en plein juillet vert,
vois-tu comme je suis seule et sombre !
De vous une ombre.
Commentaires