Je captais des instants et te les envoyais
Quand la beauté surgie paraissait indicible.
Je mettais en des vers ma joie vive ou paisible.
Ta tendresse reçue venait m’ensoleillait.
Quand la beauté surgie paraissait indicible,
Elle animait mon âme, lasse , ensommeillée.
Ta tendresse reçue venait m’ensoleiller,
Je retrouvais l’envie d’accueillir le possible.
Elle animait mon âme, lasse, ensommeillée,
Ton énergie restée puissante, indéfectible.
Je retrouvais l’envie d’accueillir le possible,
Dans le bonheur de vivre et de m’émerveiller.
Ton énergie restée puissante, indéfectible,
Fut détruite soudain. Je demeure éveillée.
Dans le bonheur de vivre et de m’émerveiller
Où que je sois, chez moi, ta présence est sensible.
2 novembre 2011
Commentaires