À Nada AL- Attar
Immense espace qui sommeille,
Le ciel, ce jour, n’a pas d’âme.
L’orage en a éteint la flamme.
Où s’en sont allées ses merveilles?
Le ciel, ce jour, n’a pas d’âme.
Restant inactive, je veille.
Où en sont allées ses merveilles?
Face au sublime, je me pâme.
Restant inactive, je veille.
Nul scénario ne se trame.
Face au sublime, je me pâme.
Il est des grâces sans pareilles.
Nul scénario ne se trame,
Aucun accord ne me réveille.
Il est des grâces sans pareilles.
Me sens à l’abri, loin des drames.
29 août 2011
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