De mots harmonieux qu'engendre la tendresse,
Je voulais vous offrir un superbe poème.
Or me sens démunie dépendant de moi-même;
Ma muse inspiratrice à son tour me délaisse.
Vous dirai cependant, avec simplicité,
Le plaisir que j'éprouve à vous sentir présente,
À l'écoute de tous, critique bienveillante,
Capable d'aller loin dans la complicité.
Brillante, cultivée, vous montrez vos poèmes.
Demeurent fort discrets ceux pouvant les comprendre.
Lorsque l'on a reçu, on prend plaisir à rendre
Mais ce serait mentir de dire qu'on les aime.
Or vous continuez à rester généreuse.
Vous vous savez choyée, certes admirée aussi.
Que mes quatrains simplets, amie, vous remercient
Et vous disent ma joie à vous savoir heureuse.
9 septembre 2016
Commentaires
Merci pour cet hommage à mon âme-soeur qui, en vous lisant, de joie a frémis. A travers elle, vous me touchez aussi.
Pascal