Quand je te lis
Cela commence par un regard,
Puis le toucher de ta peau velin
Douce et soumise à mes curieuses volontés.
J’aime à humer ton odeur
Qui me trouble toujours.
J’hésite pourtant un instant
Tant mon désir m’inonde
Quand mes mains te caressent
Quand enfin elles t’ouvrent
Quand mes yeux te découvrent.
Voluptueux plaisirs de te tenir, de t’ouvrir
De te sentir, de te vivre … de te lire
Toi, mon livre rare.
20201229
Commentaires
De beaux volumes, chagrin ou pas, il y a tant à découvrir dans les manuels ou chez Elzévir.